
La 5è session ordinaire du conseil d’administration du Fonds d’appui à l’industrie cinématographique (Faic) s’est tenue, hier dans les locaux de l’établissement à Magnambougou Faso Kanu.
La cérémonie d’ouverture des travaux était présidée par la conseillère
technique du ministère de l’Artisanat, de
la Culture, de l’Industrie hôtelière et du Tourisme, Mme Diara Sanogo,
en présence du directeur général de l’établissement, Bréma Moussa Koné, et des
administrateurs.
Les ponts inscrit à l’ordre du jour de la
session étaient, entre autres, l’examen et
l’adoption du compte rendu de la
session précédente, le bilan consolidé des activités et l’exécution du budget 2021, le projet du
programme d’activités et le budget de l’exercice 2022. Il faut noter que le
budget de réalisation de l’ensemble de ces activités est équilibré en
ressources et dépenses à 200. 500 000 Fcfa en 2021.
Mais d’ores et
déjà, on sait que cette annonce budgétaire n’a jamais été entièrement libérée
pour permettre au FAIC de mettre en œuvre, sereinement, son programme
d’activités. Dans son discours d’ouverture, Mme Diara Sanogo a félicité la
direction de l’établissement et les
administrateurs pour leur engagement en faveur de la promotion de
l’établissement en particulier et de l’industrie cinématographique en général.
Elle a aussi mis l’accent sur le partenariat entre la structure et Canal+Mali.
Cette session se tient à un moment où le secteur de la culture et
particulièrement du cinéma paie un lourd tribut lié aux effets foudroyants de
la double crise sécuritaire et sanitaire.
La création du Faic avec une dotation
initiale de 6 milliards de Fcfa est la
preuve juridique de la volonté clairement affichée des plus hautes autorités de
notre pays de faire du cinéma, non seulement un vecteur de la culture, mais
aussi un puissant levier de développement économique, harmonieux et durable.
Même si la mobilisation de cette dotation reste encore un défi.
Malgré les nombreuses
difficultés, la direction du Fonds compte mener des activités, réparties en 7
axes qui sont, entre autres, les voyages et échanges d’expériences avec
d’autres fonds de soutien cinématographique et audiovisuels, les rencontres,
concertations et communications, les formations et renforcement des
capacités, l’action de recherche et de mobilisation du financement. Il y
a aussi le renforcement institutionnel du Faic, l’appui et le
suivi-évaluation des projets, les œuvres et festivals cinématographiques et
audiovisuels et la recherche de partenariats.
La conseillère technique a
expliqué que le renforcement de la gouvernance du Faic est
nécessaire en dépit des défis que traverse l’établissement. Elle a invité la
direction à relever l’industrie cinématographique de l’asthénie afin de lui
donner un nouveau souffle et dans le dessein bien compris d’une relance du
secteur.
Enfin, elle a demandé aux administrateurs de faire des recommandations pertinentes à l’issu des travaux de cette session. Le directeur général de l’établissement a exprimé sa satisfaction et ses préoccupations par rapport au budget. Et Bréma Moussa Koné d’estimer que le bilan est appréciable malgré les difficultés liées à une insuffisance de ressources.
Amadou SOW
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