Aminata Djibo est sortante de l’École supérieure de journalisme et des sciences de la communication (ESJSC). Elle est passionnée des sujets relatifs à la santé notamment celle sexuelle et reproductive. Sa production sur la fistule dans L’Essor du 25 août dernier aborde avec profondeur et sensibilité la problématique de la fistule obstétricale, une pathologie encore trop répandue et stigmatisante, notamment dans les zones les plus reculées du pays. À travers des témoignages poignants et une analyse rigoureuse, l’auteure met en lumière les défis liés à la santé de la reproduction et la nécessité d’engager des actions concrètes pour circonscrire les risques qui y sont liés.
Son travail journalistique de qualité lui a valu, le 1er prix de la catégorie presse écrite du Concours de production médiatique consacré aux questions de population et aux thématiques du projet Horizon d’espoir. Ce concours est organisé par la Direction nationale de la population (DNP), en partenariat avec le Projet Horizon d’espoir, financé par l’ambassade des Pays-Bas. La cérémonie de remise des trophées s’est tenue vendredi dernier
Quelques jours plus tôt, elle remportait le 2è prix du Concours international de productions médiatiques sur la santé de la reproduction, organisé par le Partenariat de Ouagadougou, lors d’une cérémonie tenue à Lomé. Une reconnaissance qui dépasse les frontières nationales.
Le parcours de l’article s’est conclu avec l’obtention du 2è prix du Concours national des meilleures productions médiatiques sur la santé de la reproduction. Cette récompense a été décernée par l’Office national de la santé de la reproduction (Onasr), dans le cadre de la «Nuit des médias amis de la santé de la reproduction», un événement dédié à la valorisation des journalistes engagés sur ces thématiques essentielles.
Pour Aminata Djibo, cet engagement ne date pas d’aujourd’hui. Elle affirme mener ce combat, avec la ferme conviction que l’information et la sensibilisation sont des leviers essentiels pour améliorer la santé de la reproduction, protéger les femmes et renforcer les politiques publiques au Mali. «Apporter ma pierre à l’édifice pour une santé de la reproduction saine et protégée est un devoir», a-t-elle confié.
Ces multiples distinctions constituent ainsi une preuve de son engagement, de sa persévérance et de l’impact du journalisme lorsqu’il est mis au service du développement humain et social.
Gaoussou TANGARA
La 15è session ordinaire du Conseil d’administration de l’Université Kurukanfuga de Bamako (UKB) s’est tenue, hier dans la salle de conférences de l’établissement. Présidée par la présidente du conseil d’université, Mme Diarra Fatoumata Dembélé, la réunion s’est déroulée en .
L’Institut Simon finance et management international (ISFMI) a organisé, jeudi dernier dans un hôtel de la place, une cérémonie de remise de diplômes aux 211 étudiants en Licence et Master de la promotion baptisée Harouna Niang, économiste et ancien ministre de l’Industrie, du Commerce e.
Le directeur général de l’Onef, Boubacar Diallo et la représentante de la ministre chargée de l’Emploi, Mme Dicko Fatoumata Abdourhamane.
L’Agence nationale d’évaluation et d’accréditation des établissements de santé (Anaes) a développé un plan d’actions contre les risques de corruption au sein d’un établissement de santé. L’étude sur le développement de ce plan et sur l’évaluation et la cartographie des risqu.
Pour le nouveau directeur général, la priorité reste la satisfaction des clients, leur offrir des réseaux toujours plus performants et accessibles partout sur le territoire national.
L’Association autisme Mali et la Fondation de la Banque ouest-africaine de développement (BOAD) ont lancé, vendredi dernier au mémorial Modibo Keïta, la caravane de sensibilisation sur l’autisme dans le District de Bamako..