
Dans toutes les familles maliennes, les enfants sont les graines pour perpétuer le renouvellement de l’homme et de la femme. L’enfant est le résumé de tous les espoirs d’une vie pour les géniteurs. Les leçons de vie sont des trésors, des briques qui fondent nos traditions, nos cultures.
Les parents, à travers l’éducation nationale, transmettent aux progénitures toutes les connaissances théoriques et pratiques pour transformer les problèmes et les écueils qu’ils rencontrent sur leur chemin en autant de facilités pour générer l’aisance dans nos familles. Nos enfants ont droit à tout ce qui est nécessaire pour assurer leur bonheur. Depuis des décennies, les différents gouvernements ont échoué à faire le bonheur des mômes du pays. Le Mali Kura a pour mission d’enrayer les inquiétudes dans l’esprit de tous les parents maliens sur l’avenir de leurs enfants. L’école malienne dans toutes ses composantes est la garantie de cet avenir.
Pourquoi ne pas garder les enfants sur les bancs jusqu’à l’âge de 16 ans ? N’est-ce pas le remède contre la délinquance juvénile proposé par d’éminents experts à travers le monde. Il faut donner le temps à tous les enfants de ce pays d’apprendre à aimer l’école, à aimer les livres.
Les universités, les écoles supérieures de formation professionnelle déversent sur le marché de l’emploi des milliers de jeunes diplômés. Très peu sont élus sur le front du travail. Pour soulager les parents et leurs enfants, pourquoi ne pas donner la priorité au plein emploi dans le Mali Kura ?
Faut-il demander à tous les diplômés sans emplois de se regrouper dans des Sociétés anonymes (SA) pour aller à la course des avis d’appel d’offres ?
Les stages de formation proposés par l’Agence de promotion de l’emploi des jeunes (APEJ) ne sont-ils pas devenus des solutions inadaptées par rapport à l’ampleur du chômage des jeunes ?
Que faire ? Ne faut-il pas organiser au plus vite un séminaire pour transformer l’APEJ ?
Les réflexions qui en sortiront lui permettront d’assurer le plein emploi des jeunes maliens intellectuels et ruraux. Ne pouvons-nous pas faire programmer par le ministère en charge du Plan les opportunités d’emplois au Mali sur vingt ans ? Ce document programme peut être préparé en quelques mois. N’avons-nous pas les capacités d’analyser les statistiques du domaine à l’ère de l’informatique tous azimuts ?
Il est encore temps de prendre le taureau des troubles sociaux et de la crise du chômage des jeunes par les cornes.
Sékou Oumar DOUMBIA
Rédaction Lessor
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