
L’objectif principal de cette rencontre est de rédiger l’avant-projet de protocole additionnel et le règlement intérieur des futures sessions parlementaires confédérales. La cérémonie d’ouverture des travaux a eu lieu ce lundi 11 août.
Dans son discours d’ouverture, Daouda Diallo, 4è vice-président de l’Assemblée législative de transition du Burkina Faso, a rappelé la genèse de cette initiative. «Notre rencontre d’aujourd’hui découle de la volonté commune des Chefs d’État du Burkina Faso, du Mali et du Niger, qui ont souhaité, à l’issue du sommet tenu à Niamey le 6 juillet 2024, que des sessions des parlements de l’AES soient mises en place, et que le Burkina Faso en accueille la première», a-t-il déclaré. Il a souligné l’importance de ces travaux pour l’avenir de l’Alliance. «L’élaboration des projets de textes encadrant les sessions confédérales est d’une importance capitale. Ces textes, en structurant le fonctionnement de nos instances parlementaires communes, contribueront à doter notre Confédération d’un cadre institutionnel solide, légitime et fonctionnel».
L’importance de cette démarche a également été mise en lumière par Raky Talla Diarra, 5è vice-présidente du Conseil national de Transition (CNT) du Mali. Dans son allocution, elle a insisté sur la volonté d’autonomie des pays membres. «Nous avons décidé de prendre notre destin en main, de mutualiser nos efforts, de parler d’une seule voix et de construire une architecture institutionnelle intégrée autour de valeurs partagées : la sécurité, la dignité, la justice et le développement durable», a-t-elle affirmé. Elle a également précisé que la mise en place du pilier parlementaire n’est pas une simple formalité juridique. Ce Parlement est perçu comme le garant du «contrôle démocratique, de l’harmonisation législative et de la représentation des peuples du Sahel au sein de notre nouveau cadre de gouvernance».
Cette réunion s’inscrit dans une dynamique historique de refondation des États membres de l’AES ayant été instituée le 16 septembre 2023. La mise en place d’un Parlement conjoint représente une étape capitale vers l’intégration régionale et la coopération politique. Elle témoigne de la volonté des trois pays de travailler ensemble pour garantir leur sécurité, leur paix et leur prospérité.
Burkina 24
Rédaction Lessor
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