L’ancien joueur du Djoliba a réjoint le FK Cukaricki en septembre dernier
l réside dans un quartier de la Commune VI et vit avec sa mère, Sissoko Awa Diawara, sa femme et ses frères et sœurs. Sambou Sissoko a évolué à l’Usfas (2017-2018) puis au Djoliba (2018-2019) avant de quitter le Mali, direction Courtrai FC, une équipe de première division belge.
Le champion d’Afrique 2019 U20 signe un contrat de deux ans avec le club belge, avant d’être prêté à FK Cukaricki de Serbie. «Les choses ne se sont pas bien passées pour moi en Belgique. J’ai commencé avec l’équipe réserve, mais pour moi, il était clair que j’allais jouer avec l’équipe première.
Comme cela ne s’est pas passé, j’ai demandé à changer d’air. Ainsi de commun accord avec les dirigeants du club, j’ai rejoint la Serbie en septembre dernier», raconte le joueur de 22 ans (Sambou Sissoko est né le 20 juin 2000 à Kayes). «Avec FK Cukaricki, je joue régulièrement et je suis satisfait de mon temps de jeu.
Mon objectif est de continuer sur la même lancée jusqu’à la fin de la saison. Après, on verra avec Courtrai FC s’il faut poursuivre l’aventure ou si je dois aller ailleurs».
Concernant la sélection nationale, Sambou Sissoko rêve d’intégrer le groupe le plus rapidement possible «afin de participer à la prochaine CAN».
«Je travaille dur pour réaliser ce rêve. Je sais que les places sont chères en équipe nationale, mais tout est possible avec le travail. Kalifa Coulibaly joue à l’Étoile Rouge de Belgrade et je sais que le sélectionneur des Aigles suit le championnat serbe. Je suis sûr que mon tour va bientôt venir avec les Aigles», aspire le joueur.
Sambou Sissoko affiche également sa confiance pour la participation du Mali à la CAN, Côte d’Ivoire 2023. «Je suis sûr et certain que le Mali sera en Côte d’Ivoire, car nous avons une bonne équipe capable de rivaliser avec n’importe quel adversaire sur le continent.
A chaque fois qu’il vient en vacances au Mali, le milieu de terrain rend visite à son club formateur, le Djoliba. «J’ai tout eu avec le Djoliba, témoigne-t-il. Pour moi, le Djoliba est un club porte-bonheur et je rends hommage à tous les entraîneurs qui m’ont formé et qui ont contribué à mon épanouissement».
Djeneba BAGAYOGO
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