
L’éducation à l’information, l’évolution des
nouvelles technologies des médias, l’intelligence artificielle sont, entre
autres sujets débattus lors de la deuxième journée du Congrès mondial des médias
qui se tient à Abu Dhabi (Émirats arabes-unis). Ainsi, différents panels se
sont tenus pour exposer les enjeux et défis de ces différents sujets auxquels
font face le monde des médias et la planète terre. C’était en présence des
panelistes Ali Rashid Al Nuaimi, du ministre d’État chargé de l’intelligence
artificielle et de l’économie numérique ainsi que des applications de travail à
distance, Omar Sultan Al Olam ,sous la modération de Lenah Hassaballah et de
son invité, Pierre Tuerie du Trader group.
Selon le paneliste Ali Rashid Al Nuaimi, l’éducation
à l’information de l’enfant est un droit crucial que son enseignant doit lui
transmettre pour qu’il puisse se situer avant qu’il ne soit dirigé vers une
mauvaise information. Aussi, il est question pour les apprenants élèves et étudiants,
de toujours avoir conscience de s’informer pour faire des avancées dans leurs
apprentissages et pour ne pas rester dans le doute, d’où la présence massive de
plusieurs élèves et étudiants qui ont pris part à ladite cérémonie au Centre
national des expositions d’Abu Dhabi.
Après ce thème, Omar Sultan Al Olam, ministre
d’État chargé de l’intelligence artificielle et de l’économie numérique ainsi
que des applications de travail à distance, a relaté les avantages de cette
nouvelle tendance. Selon lui, l’IA n’est pas un choix, mais plutôt une nécessité,
car elle est de plus en plus efficace pour limiter certaines fonctions
cognitives. De nos jours, a-t-il fait savoir, grâce à cette méthode, on peut
s’en sortir surtout dans le monde des médias.
Selon des statistiques,
poursuit-l’expert en IA, peu de personne s’intéresse à son utilisation dans le
monde des médias, chose qui est incontournable. Mais, beaucoup de gens
l’utilisent sans se rendre compte. «Cette technologie contrôle aujourd’hui des
aspects très importants de nos vies. Il en sait plus sur vous, sur chacun
d’entre vous, que sur vos parents, vos proches et vos amis. Et cette
technologie joue aussi un rôle important en nous donnant des informations», a
indiqué Omar Sultan Al Olam, avant d’inciter les médias à s’intéresser à cette
technologie.
Parlant des nouvelles technologies des médias,
les panelistes Lenah Hassaballah et Pierre Tuerie du Trader group pensent que
la presse arabe doit faire face à d’énormes défis pour atteindre le public.
Pour ce faire, ils ont suggéré à leur presse et surtout à tous les médias
traditionnels d’améliorer leur contenu et de l’adapter au public. Également,
d’utiliser des méthodes de diffusion qui seront disponibles pour chacune des
cibles sur plusieurs appareils et androïde. Par rapport aux challenges des réseaux
sociaux, il a été noté que le public pense à qui s’adresser d’abord avant de
passer l’information. Par exemple, ils ont fait savoir que dans la catégorie
des jeunes qui s’intéressent aux médias, très peu d’entre eux ont du temps pour
consommer les contenus en moins de six minutes.
Pour atteindre ces jeunes, les experts ont conseillé aux différents médias de diffuser des idées sur les nouveaux réseaux les plus consultés par les jeunes tels que Tiktok, Instagram, etc. Rappelons qu’au cours des trois jours, 127 sessions, 27 ateliers, six laboratoires des médias se tiendront. Une grande variété d’autres programmes et expositions où sont visibles les dernières technologies des grandes marques ou des startups sont aussi au rendez-vous.
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Les Fake news sont des informations fausses ou truquées relayées sur les réseaux sociaux et par certains médias. De plus en plus de personnes recueillent des informations en ligne et partagent quotidiennement des millions de nouvelles publications, articles et vidéos sur des plateformes telles que Facebook, Twitter et YouTube. Avec le flot concentré d’informations résultant de cette utilisation accrue des réseaux sociaux, les fake news sont également devenues partie intégrante de notre vie numérique quotidienne. Les algorithmes des médias sociaux ont encore des problèmes pour déterminer l’authenticité d’une information.
C’est tout le sens de la technologie mise en
place par l’agence de presse des émirats (Wam) sur le degré d’évolution des
fausses informations. L’outil technologique détecte le détectant, le visage de
la personne pour lui faire dire une information qui n’est pas d’elle. Les
journalistes participants au congrès mondial des médias ont vécu l’expérience
de fake news fabriqués à l’aide de nouvelles technologies.
Un peu loin est assis Marah Abdallah qui présente son application virtuelle dénommée «Dashboard». Selon elle, «Nous publions les informations dans 19 langues. Nous donnons l’accès à nos partenaires à accéder à nos informations. Ils peuvent accéder au système facilement et créer un compte pour partager leurs informations avec nous», a-t-elle expliqué tout en précisant qu’ils ont récemment lancé une application qui porte uniquement sur l’intelligence artificielle.
Envoyée spéciale
Fadi CISSE
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