
Ce sont 30 personnes dont 20
femmes qui prennent part à cette session de trois jours organisée, sur
financement du Royaume-Uni, par l’Office des Nations unies contre la drogue et
le crime (ONUDC) en partenariat avec l’Autorité de protection des données à
caractère personnel (APDP) et le ministère de la Sécurité et de la Protection
civile à travers la direction générale de la gendarmerie nationale.
L’ouverture
des travaux a été présidée par le président de l’APDP, Pr Mamoudou Samassekou,
en présence des représentants des partenaires de l’activité. Le président de
l’Autorité a salué cette initiative qui s’inscrit dans une dynamique
essentielle de renforcement des capacités des acteurs locaux, dans de domaines
aussi sensibles que l’évaluation des risques et la protection des données à
caractère personnel.
Il a rappelé que l’ONUDC, à travers ses actions de lutte
contre la criminalité transnationale organisée, le terrorisme et les violences
basées sur le genre, joue un rôle majeur dans la protection des populations les
plus vulnérables. Et que dans cette lutte pour la justice et la sécurité, la
protection des informations personnelles des victimes et des témoins est tout
aussi cruciale.
«Si les
données sensibles ne sont pas gérées de manière appropriée, elles peuvent être
utilisées à mauvais escient exacerbant ainsi la souffrance des personnes déjà
traumatisées et compromettant leur sécurité. Dans notre monde interconnecté, où
les technologies de l’information et de la communication sont omniprésentes, la
protection des données personnelles n’est plus une option, mais un impératif
majeur», a insisté le Pr Mamoudou Samassekou. Et dans ce monde, a-t-il
poursuivi, le principe de «ne pas nuire» prend toute sa dimension et impose une
vigilance constante afin que les actions entreprises pour protéger et aider ne
deviennent pas des sources de danger. Aussi, dans ce contexte, la protection
des données personnelles devient une priorité absolue, car les informations sur
l’identité des victimes, leur situation ou leur localisation, mal protégées ou
divulguées, peuvent les exposer à de nouveaux dangers.
Le président de l’APDP s’est dit persuader que les échanges au cours de cette formation permettront de bâtir des bases solides pour une intégration plus approfondie des principes de «ne pas nuire» et ceux de la protection des données personnelles dans vos actions. À cet égard, il a exhorté les participants à en profiter pleinement et à tirer le meilleur parti de cette opportunité pour renforcer leurs compétences.
Babba COULIBALY
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