
Le ministre Mossa Ag Attaher procédant à la remise symbolique des clés
La cérémonie de remise,
à l’initiative du Programme Tounkaranké en partenariat avec la BSIC-Mali, a
enregistré la présence de plusieurs personnalités du département en charge des
Maliens établis à l’extérieur, des communes cibles et de la diaspora. Le
Programme Tounkaranké s’inscrit dans la concrétisation d’une vision commune
avec l’ensemble des acteurs pour promouvoir un développement harmonieux des
zones à forte migration.
Ce don de tricycles aux communes partenaires du
Programme permettra aux associations de jeunesse de ces localités d’avoir une
activité génératrice de revenus. Selon son promoteur Cheick Sall, cette
jeunesse avait besoin d’outils pour pouvoir continuer le concept que le
programme est en train de mettre en place, appelé «point diaspora». «Ce premier
don porte sur 15 communes, réparties notamment entre les Cercles de Nioro du
Sahel, de Diéma, de Kolokani et de Yélimané», a-t-il précisé, tout en annonçant
qu’avec la BSIC-Mali, le Programme est en train de digitaliser la chaîne
d’approvisionnement des villages.
Ces engins vont servir les liaisons de livraison entre l’entrepôt central d’achat situé au niveau de la commune et les villages membres qui vont s’approvisionner à partir d’une technologie conçue avec la BSIC-Mali. C’est pour faciliter l’approvisionnement mais aussi pour permettre de créer des conditions non seulement pour la jeunesse mais également au niveau des villages, des centres de santé et des écoles sur des commandes payantes.
VILLAGES
ATTRAYANTS- Pour sa part, le ministre chargé des Maliens établis à l’extérieur
a invité l’ensemble des acteurs à souscrire à l’agenda de ce genre d’initiative,
comme l’ont déjà fait la BSIC-Mali et le Programme Tounkaranké, en mutualisant
leurs efforts pour rendre nos villages plus attrayants et plus sûrs dans
l’entrepreneuriat. Mossa Ag Attaher a rassuré le Programme de sa disponibilité
entière à l’accompagner, pour que la migration soit davantage un choix qu’une
obligation pour les jeunes.
Mais
surtout un choix basé sur des décisions éclairées et facteur de développement
des zones d’origine. Il s’est dit convaincu que l’initiative multi-acteurs du
Programme contribuera davantage à mobiliser les communautés locales, le secteur
privé et la diaspora en faveur de l’investissement pour un développement
intégré à la base. De son
côté, le directeur général de la BSIC-Mali, Robert Demba N’Daw, a signalé que
cette initiative amorce l’inclusion financière dans nos villages dans une
dynamique de participation, d’implication et d’autonomisation dans la
connaissance.
Au nom des bénéficiaires, Goudia Sacko a exprimé sa satisfaction, tout en soulignant l’importance de ce Programme pour la jeunesse. Il a invité les jeunes à prendre en main ce Programme qui impacte les vies et ouvre la voie à un avenir meilleur. Au nom des maires des communes bénéficiaires, Ousmane Diawara s’est réjoui du don avant de donner son point de vue sur les différentes activités du Programme. Pour lui, faire travailler la jeunesse, c’est une opportunité de lutter contre la migration irrégulière.
Souleymane SIDIBE
À l’occasion du 38è anniversaire de l’assassinat du Président Thomas Isidore Noël Sankara, le chef de l’État burkinabè, le capitaine Ibrahim Traoré, a rendu un vibrant hommage au père de la Révolution d’août 1983.
L’ancien Premier ministre Soumana Sako a tiré sa révérence, ce mercredi 15 octobre 2025. Né en Nyamina en 1950, Soumana Sako a obtenu le Diplôme d’étude fondamentale (DEF) en juin 1967 et le Bac trois ans plus tard, en se classant dans les cas deux Premier national.
En plus d’être de ferventes agricultrices, les femmes de Siby sont aussi de véritables gardiennes de la nature. Elles assurent la protection de l’environnement avec leur savoir-faire.
C’est aujourd’hui qu’on célèbre la Journée internationale de la femme rurale. À cette occasion, nous sommes allés à la rencontre des braves femmes de Siby dont la principale activité est de travailler la terre pour garantir la sécurité alimentaire dans la communauté et assurer leur a.
Les travaux de construction du principal caniveau qui traverse la ville de Kangaba ont démarré le jeudi 9 octobre. Ils sont financés par le budget de la Commune rurale de Minidian pour un montant total de 47.496.416 Fcfa. Le premier coup de pelle a été donné par le maire de cette commune, Mamb.
Le 2è adjoint au préfet de Diéma, Attayoub Ould Mohamed, à la tête d’une délégation restreinte, comprenant le 2è adjoint au maire de la Commune rurale de Diéma, Nakounté Sissoko, le chef du service subrégional du commerce et de la concurrence, Mamby Kamissoko, et des éléments des Forc.