Aux environs de 10 heures, un passant a fait la découverte
du corps sans vie d’un nouveau-né, portant encore son cordon ombilical.
Aussitôt, la découverte macabre faite dans la cour de l’école « B », comme il
fallait s’y attendre, la triste nouvelle s’est répandue dans tout le secteur
comme une traînée de poudre, suscitant du coup l’émoi au sein des habitants.
Dans
les minutes qui ont suivi, un anonyme en informa le commissariat de police de
Lafiabougou, afin de tirer cette histoire au clair. Dans la foulée, une équipe
d’agents de constatation, accompagnée de professionnels de la santé ont
rapidement rallié l’enceinte de l’établissement scolaire où la découverte a eu
lieu. Selon les premières informations recueillies sur place, il semble que
c’est une résidente (une adolescente) du secteur du quartier qui aurait
accouché seule sans assistance médicale. C’est cette situation qui aurait
occasionné la mort du nouveau-né avant que la suspecte ne se débarrasse du
corps dans la cour de l’établissement scolaire sus mentionné.
Au même moment, d’autres sources évoquent une grossesse non désirée contractée avec son petit copain, qui reste introuvable jusqu’à ce jour. En ce qui concerne la mère du défunt nourrisson, il semblerait que, faute de soins médicaux appropriés, elle souffrirait de complications postnatales à la suite desquelles elle a été admise au Csref de Lafiabougou pour y recevoir des soins. La police a ouvert une enquête pour faire la lumière sur cette histoire.
Tamba CAMARA
«Il faut tout un village pour éduquer un enfant », dit une maxime bien connue chez nous. D’où toute l’importance de l’implication de toute la communauté dans l’éducation de l’enfant. à commencer par sa famille, le voisinage, le quartier, voire tout le village..
A seulement 25 ans, celui que nous désignerons par ses initiales S.D risque de passer plusieurs années derrière les barreaux, s’il est reconnu coupable du crime d’assassinat dont il est fortement suspecté..
Le commissariat de police de Sabalibougou a tout récemment mis le grappin sur une bande de malfrats spécialistes du vol et braquage à main armée. Au nombre de sept individus, ces malfrats qui ne juraient que par les engins à deux roues ont longtemps troublé la quiétude des populations de cert.
Les témoins de cet homicide volontaire garderont longtemps en mémoire ce jour où des malfrats ont abattu de sang-froid un jeune homme qui tentait de les arrêter après un vol spectaculaire. Cela s’est passé à Kalabancoro, quartier populaire à la périphérie de Bamako..
Les hommes du commissaire principal de police Moustapha Kanté du commissariat de Kéniéba viennent de se faire entendre à nouveau avec l’interpellation de deux individus suspectés être des trafiquants de produits stupéfiants..
L’opération « Kokadjè » initiée depuis quelques temps par le Directeur régional de la police de Kayes, le contrôleur principal Tapa Oury Diallo, vise à assainir la Cité des rails et ses environs en les débarrassant des bandits de tout acabit. Incontestablement, cela a pour avantages de .
