Depuis qu’ils sont à la tête du commissariat de police de Koutiala, le commissaire divisionnaire, Fousseynou Diakité et son adjoint, le Commissaire Attaher Ag Amedi, ne donnent aucun répit aux malfrats. Appuyés par leurs éléments, les deux officiers de police ont récemment mis le grappin sur un jeune homme que nous désignerons par ses initiales IS. Âgé d’une vingtaine d’années, cet individu ne jurait que par l’argent en espèces et avait jeté son dévolu sur les boutiquiers de la cité de l’Or blanc.
Depuis plusieurs mois, les tenanciers d’échoppes et autres
boutiques de vente d’objets de valeur de la localité étaient devenus la
principale cible de ce jeune homme qui était prêt à tout pour avoir de
l’argent. Contrairement à nombre de malfrats qui se contentaient de dérober les
objets, les revendre ensuite pour se remplir les poches, lui s’en prenait
directement à l’argent en espèces chez ses victimes.
Pratiquement, les commerçants
du Grand marché de la cité de l’Or blanc ne dormaient que d’un œil. Ils avaient
presque tous une peur bleue de cet individu qui avait fait beaucoup de victimes
dans le milieu des commerçants et autres propriétaires de magasins de vente.
Le temps passant, les tenanciers de boutiques n’ont eu
d’autres solutions que recourir aux policiers dans lesquels ils ont mis tout
leur espoir pour débarrasser la ville de cet individu qui leur coupait le
sommeil. C’est ainsi que les plaintes fusaient de partout du côté des commerçants
et boutiquiers de la ville.
Et depuis, les limiers se sont intéressés aux activités
malsaines du malfrat. Ils lui ont coupé l’herbe sous les pieds en misant sur la
collaboration de la population et sur le renseignement. En quelques jours
seulement, les éléments de la brigade de recherches (BR) ont pu identifier le
voleur qui sera très vite localisé quelque part dans la cité de l’Or blanc.
L’individu est coincé et pris sans résistance et conduit au commissariat de
police. Auditionné, il était difficile pour lui de nier quoi que ce soit, tant
les plaintes l’accablaient.
En approfondissant leurs enquêtes, les limiers apprendront qu’il était fortement impliqué dans des histoires de faux billets de banque. D’où d’ailleurs son obsession pour le vol de l’argent en espèces chez ses victimes. Les policiers n’avaient plus de raisons de trainer avec son dossier qu’ils ont traité avec diligence pour envoyer le fautif chez les juges de la localité afin qu’il réponde de ses actes. à ce jour, le mordu des billets de banque dort derrière les barreaux.
Tamba CAMARA
Nous les désignerons par leurs initiales pour des raisons bien compréhensibles. Il s'agit de M.K (17 ans), B.W (18 ans), B.T (28 ans), M.T (48 ans), Mo.K (17 ans) et Mo.T (16 ans)..
«L’apparence est trompeuse», dit une maxime connue de tous. Autrement dit, on ne doit jamais se laisser convaincre par ce qu’on aperçoit à l’extérieur d’un individu. Et pour cause, il est possible que la personne garde des tonnes de mauvaises choses à l’intérieur d’elle même..
Les policiers les plus avertis vous diront que « l’occasion fait le larron ». Eux (les limiers) qui ont pour mission de protéger les personnes et leurs biens dans la cité savent de quoi ils parlent. Pour la simple raison que chaque jour que Dieu fait, les malfrats prouvent l’évidence de cet.
De par leur nature, certains individus ne se plaisent que lorsqu’ils constatent que leurs semblables traversent des moments de difficultés, quoi que éphémères..
Les éléments du commissariat de la Régie chemins de fer de Kayes avec à leur tête le commissaire principal Mohamed B. Koumaré, ont récemment mis hors d’état de nuire quatre individus qui s’apprêtaient à mettre sur le marché de la viande de bœuf impropre à la consommation..
«Il faut tout un village pour éduquer un enfant », dit une maxime bien connue chez nous. D’où toute l’importance de l’implication de toute la communauté dans l’éducation de l’enfant. à commencer par sa famille, le voisinage, le quartier, voire tout le village..
