
C’est dans ce contexte qu’un atelier de discussions a été organisé ce mercredi dans un hôtel de la place, pour améliorer les canaux de communication destinés aux femmes, afin qu’elles puissent recevoir et transmettre plus efficacement les données d’alerte précoce. Organisé par la Direction générale de la protection civile (DGPC) et la Banque mondiale, cet atelier vise à renforcer les capacités des femmes dans les communautés locales à recevoir et à transmettre efficacement les alertes précoces liées aux risques de catastrophes naturelles, en mettant en place des canaux de communication adaptés à leurs besoins spécifiques.
Durant deux jours, femmes leaders communautaires, responsables locaux, organisations féminines et experts en gestion des risques se sont réunis pour échanger, diagnostiquer les limites actuelles des systèmes d’alerte, et surtout proposer des solutions concrètes et adaptées au terrain. Selon le médecin-colonel sapeur pompier Fanta Mady Koné, les catastrophes naturelles causent des dommages à tous les niveaux, « Elles ne connaissent ni frontières, ni ethnies », a-t-il ajouté.
Auparavant, l’officier supérieur avait mis en lumière l’importance de doter les femmes des outils et des plateformes nécessaires pour non seulement recevoir des informations vitales, mais aussi pour les transmettre efficacement au sein de leurs communautés. Les catastrophes de l'année 2024, a-t-il souligné, ont coûté à l'État plus de 500 milliards de francs CFA, d'où l'importance de la tenue du présent atelier. Précisant que cette session a pour but de renforcer les connaissances en matière de réduction de catastrophes et de gestion de système d’alerte précoce (SAP).
Au-delà des recommandations techniques, cet atelier a aussi été un moment fort de mobilisation sociale. En donnant la parole aux femmes, en reconnaissant leur rôle central dans la réponse aux catastrophes, les organisateurs ont placé la femme au cœur de la stratégie d’alerte précoce.
Tamba CAMARA
À l’occasion du 38è anniversaire de l’assassinat du Président Thomas Isidore Noël Sankara, le chef de l’État burkinabè, le capitaine Ibrahim Traoré, a rendu un vibrant hommage au père de la Révolution d’août 1983.
L’ancien Premier ministre Soumana Sako a tiré sa révérence, ce mercredi 15 octobre 2025. Né en Nyamina en 1950, Soumana Sako a obtenu le Diplôme d’étude fondamentale (DEF) en juin 1967 et le Bac trois ans plus tard, en se classant dans les cas deux Premier national.
En plus d’être de ferventes agricultrices, les femmes de Siby sont aussi de véritables gardiennes de la nature. Elles assurent la protection de l’environnement avec leur savoir-faire.
C’est aujourd’hui qu’on célèbre la Journée internationale de la femme rurale. À cette occasion, nous sommes allés à la rencontre des braves femmes de Siby dont la principale activité est de travailler la terre pour garantir la sécurité alimentaire dans la communauté et assurer leur a.
Les travaux de construction du principal caniveau qui traverse la ville de Kangaba ont démarré le jeudi 9 octobre. Ils sont financés par le budget de la Commune rurale de Minidian pour un montant total de 47.496.416 Fcfa. Le premier coup de pelle a été donné par le maire de cette commune, Mamb.
Le 2è adjoint au préfet de Diéma, Attayoub Ould Mohamed, à la tête d’une délégation restreinte, comprenant le 2è adjoint au maire de la Commune rurale de Diéma, Nakounté Sissoko, le chef du service subrégional du commerce et de la concurrence, Mamby Kamissoko, et des éléments des Forc.