
Cette initiative d’Acmé vise à garantir une migration digne, sécurisée et profitable
Elle vise à offrir aux Maliens, l’opportunité de profiter pleinement de la
décision des autorités canadiennes de promouvoir l’immigration francophone.
C’était en présence du directeur pays du cabinet de conseil et d’assistance en
matière d’immigration au Canada, Alioune Coulibaly.
Le cabinet
Acmé Mali ambitionne d’apporter des solutions personnelles tout
en allégeant les démarches administratives souvent complexes et en
accompagnant tous ceux qui aspirent à franchir les frontières en toute légalité
et sérénité. Dans un monde où la mobilité internationale est devenue
essentielle, pour des raisons diverses et variées (familiales, académiques,
personnelles ou professionnelles), le besoin d’un accompagnement d’expert
efficace s’avère nécessaire, voire indispensable.
L’Agence
s’appuie sur un effectif de huit personnes dont cinq agents commerciaux,
portant le titre de consultants. Elle s’assigne comme mission de faire de chaque
projet migratoire, une réussite. C’est pourquoi, son directeur pays s’est
engagé à contribuer à inverser la tendance en s’appuyant notamment sur le
programme d’immigration francophone qui offre une réelle opportunité aux
ressortissants des pays d’expression française dont le Mali.
Alioune Coulibaly
a précisé que ce programme vise à encourager l’immigration francophone en
dehors du Québec et à renforcer la vitalité des communautés francophones dans
les provinces anglophones. Pour lui, la promotion de l’Agence par le
gouvernement canadien, qui en a fait une priorité politique, représente une
excellente opportunité dont le groupe Acmé Mali entend faire profiter
pleinement les Maliens en s’appuyant sur sa parfaite maîtrise des rouages
de l’immigration.
Le chef de
cabinet du ministre chargé des Maliens établis à l’Extérieur a indiqué que leur
engagement en faveur d’une migration maîtrisée repose sur plusieurs actions. Il
s’agit de la mise en place d’un dispositif de veille et de recherche sur les
opportunités de migration de travail à l’international, le renforcement des
dispositifs de prospection et de négociation en matière de migration légale et
professionnelle et le déploiement de missions internationales pour
identifier de nouvelles perspectives d’emploi. Pour Acherif Mohamed Ag Erlaf,
toutes ces mesures visent un objectif clair : garantir une migration
digne, sécurisée et profitable à tous.
Le représentant du ministre chargé des Maliens de l’extérieur a signalé que la migration professionnelle constitue une formidable opportunité, tant pour nos compatriotes que pour nos partenaires internationaux. Lorsqu’elle est bien encadrée, selon Acherif Mohamed Ag Erlaf, elle génère des bénéfices multiples, notamment les opportunités économiques, le renforcement des compétences, la protection sociale et la dynamisation du marché du travail. «C’est pourquoi, il est essentiel que nous poursuivions nos efforts pour bâtir une migration légale, qui protège les travailleurs et renforce la coopération entre les Nations», a-t-il laissé entendre, tout en réaffirmant l’engagement de son département à accompagner toutes les initiatives visant à organiser la migration de manière efficace et humaine.
Souleymane SIDIBE
L’ancien Premier ministre Soumana Sako a tiré sa révérence, ce mercredi 15 octobre 2025. Né en Nyamina en 1950, Soumana Sako a obtenu le Diplôme d’étude fondamentale (DEF) en juin 1967 et le Bac trois ans plus tard, en se classant dans les cas deux Premier national.
En plus d’être de ferventes agricultrices, les femmes de Siby sont aussi de véritables gardiennes de la nature. Elles assurent la protection de l’environnement avec leur savoir-faire.
C’est aujourd’hui qu’on célèbre la Journée internationale de la femme rurale. À cette occasion, nous sommes allés à la rencontre des braves femmes de Siby dont la principale activité est de travailler la terre pour garantir la sécurité alimentaire dans la communauté et assurer leur a.
Les travaux de construction du principal caniveau qui traverse la ville de Kangaba ont démarré le jeudi 9 octobre. Ils sont financés par le budget de la Commune rurale de Minidian pour un montant total de 47.496.416 Fcfa. Le premier coup de pelle a été donné par le maire de cette commune, Mamb.
Le 2è adjoint au préfet de Diéma, Attayoub Ould Mohamed, à la tête d’une délégation restreinte, comprenant le 2è adjoint au maire de la Commune rurale de Diéma, Nakounté Sissoko, le chef du service subrégional du commerce et de la concurrence, Mamby Kamissoko, et des éléments des Forc.
Le lancement a été présidé par le ministre de l’Élevage et de la Pêche, Youba Ba. Au cours de cette campagne, 15 millions de petits ruminants seront vaccinés et marqués à travers toutes les régions.