
La rencontre regroupe cadres des départements ministériels, employés des services publics et privés, syndicats, employeurs
L’avenir des systèmes de retraite en Afrique en était une.
Donc en application de la décision N° 485/CM/Cipres, le ministère de la Santé
et du Développement social à travers l’Institut de prévoyance sociale (INPS),
la Caisse malienne de sécurité sociale (CMSS), la Caisse nationale d’assurance
maladie (Canam) et l’Agence nationale d’assistance médicale (Anam), organise,
depuis hier dans un hôtel de la place, le 1er Forum national sur la retraite.
L’ouverture des travaux
était présidée par la ministre de la Santé et du Développement social, Mme
Diéminatou Sangaré. C’était en présence de ses collègues de l’Enseignement
supérieur et de la Recherche scientifique, Pr Amadou Keïta, et du ministre
délégué auprès du Premier ministre, chargé des Réformes politiques et
institutionnelles, Mme Fatoumata Sékou Dicko.
Par définition, la retraite
est l’état d’une personne qui, après un certain nombre d’années de travail,
cesse son activité professionnelle et reçoit une pension. La rencontre regroupe
des cadres des départements ministériels, employés des services publics et
privés, organisations syndicales, Conseil national du patronat du Mali (CNPM)
et gestionnaires des ressources humaines sous le slogan «La couverture du risque vieillesse,
instrument de lutte contre la pauvreté. Quel financement pour notre système de
retraite».
Ceux-ci doivent échanger leurs expériences, analyser et examiner le
système actuel des régimes de retraite dans notre pays, notamment ses
difficultés en vue de proposer des pistes de solutions aux questions
essentielles liées à la gestion du risque de vieillesse.
Les normes internationales relatives à la
gouvernance des systèmes de retraite, l’état des régimes de retraite dans la
zone Cipres, les régimes de retraite gérés par l’INPS, la CMSS et la problématique
du financement des régimes de retraite seront les thèmes au cœur des
discussions.
La ministre de la Santé et
du Développement social a rappelé que les régimes de retraite de notre pays
fonctionnent selon le mode par répartition, basé sur la solidarité
intergénérationnelle. Ce modèle implique par son financement et effectue des
prélèvements sur les revenus des travailleurs actifs pour payer les retraités.
Il est reconnu pour être sensible aux évolutions démocratiques.
Le modèle poursuit, Mme Diéminatou
Sangaré, exige d’être obligatoire mais surtout de s’asseoir sur le principe du
«grand nombre». Et d’ajouter que la vieillesse donne ses droits. Et c’est
souvent sous cet aspect qu’on la considère, car après de longues années de
labeur, le retraité est supposé avoir droit à une couverture sociale au moment
où, il va devoir se retirer de la vie professionnelle pour prendre un repos
mérité.
La ministre en charge de la Santé jugera aussi que la couverture
sociale est l’une des conquêtes les plus importantes du monde du travail. Ce
droit est garanti par des textes juridiques dans notre pays. Et les retraités
occupent une place importante dans notre société. Elle a aussi déclaré que les
pensions des retraités constituent un moyen efficace de lutte contre la
pauvreté et un facteur indéniable de paix sociale.
Pour la ministre Sangaré, ce
forum est un cadre privilégié pour mettre en commun les ressources du pays face
à la problématique de la pérennité des régimes de retraite.
Rappelons que notre pays a rallongé l’âge de la retraite (65 pour les fonctionnaires de catégorie A, 62 pour les catégories B2, B1 et 58 pour les catégories C, D et E). Si la période minimale de cotisations obligatoires est de 15 ans, l’âge minimum obligatoire pour pouvoir bénéficier des prestations de vieillesse est fixé à 53 ans. Le forum prend fin demain
Sidi WAGUE
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