
La cérémonie d’ouverture des travaux a été présidée par la ministre chargée de l’Entreprenariat national, Mme Traoré Aminata Bakayoko
La rencontre s’inscrit dans le cadre de la
mise en œuvre des activités de l’axe 1 du Programme régional de formation
professionnelle (Profor). La
cérémonie d’ouverture des travaux a été présidée par la ministre de
l’Entreprenariat national, de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Mme
Traoré Aminata Bakayoko, en présence du représentant de la Coopération suisse,
Peter Lindenmann.
Le
Profor est le fruit de la coopération entre la Commission de l’Uemoa et la
direction du développement et de la coopération (DDC) suisse dans le but de
mutualiser les efforts pour renforcer le développement de la formation
professionnelle et assurer ainsi une plus grande employabilité des jeunes dans
l’espace régional.
Avec un montant de 4,5 milliards de Fcfa, le programme
s’étend sur la période 2021-2024. «Le sous-secteur de la formation
professionnelle dans les pays de l’Uemoa souffre d’un faible niveau de pilotage
institutionnel», a déploré Peter Lindenmann.
à cet égard, a-t-il assuré, le Profor accompagnera l’émergence à
l’échelle régionale des dispositifs de formation professionnelle adaptés aux
besoins des économies des états de l’Union et du Tchad.
«La
poursuite de la dynamique de recherche et de partage de solutions communes sur
les questions d’emploi et de formation professionnelle, nous réconforte dans la
démarche de promotion d’initiatives nationales et régionales contribuant à
reconsidérer et à traduire davantage l’emploi et la formation professionnelle
comme une priorité dans les États de l’Union», a déclaré le représentant de la
Coopération suisse. Et d’estimer que le processus d’intégration régionale
engagé par l’Uemoa et le cadre de concertation des ministres en charge de
l’emploi et la Formation professionnelle, imposent l’adoption d’une démarche
régionale et des programmes mutualisés pour booster les progrès dans le
renforcement des ressources humaines de l’Union.
La
présidente de la Commission de suivi et de préparation de conférences des
ministres en charge de l’Emploi et de la Formation professionnelle a fait
savoir que cet atelier vient couronner un processus démarré, il y a plus de
trois mois dans l’objectif d’une meilleure intégration en matière de formation
professionnelle à travers une mutualisation des référentiels et curricula.
De
son côté, la ministre de l’Entreprenariat national, de l’Emploi et de la
Formation professionnelle a indiqué que la formation professionnelle est l’un
des axes du système éducatif dont la particularité est le développement des
compétences techniques et professionnelles des ressources humaines. De
l’analyse de Mme Traoré Aminata Bakayoko, notre système d’enseignement est caractérisé
par un fort taux d’abandon, une baisse sensible de la qualité et un taux
d’achèvement assez bas. Aussi, a-t-elle ajouté, la formation professionnelle,
en tant qu’instrument de mise en valeur des ressources humaines, constitue pour
les pays un moyen efficace pour consolider la viabilité des entreprises,
soutenir la croissance économique, lutter contre le chômage et la crise de
l’emploi...
«Au regard de ses enjeux à la fois politique, économique, éducatif et social, la formation professionnelle apparaît incontestablement comme un élément catalyseur du processus de développement socio-économique des états», a déclaré Mme Traoré Aminata Bakayoko. Elle a exhorté les participants à travailler avec beaucoup d’abnégation de manière à proposer une méthodologie harmonisée qui tient compte des spécificités des pays.
Babba COULIBALY
À l’occasion du 38è anniversaire de l’assassinat du Président Thomas Isidore Noël Sankara, le chef de l’État burkinabè, le capitaine Ibrahim Traoré, a rendu un vibrant hommage au père de la Révolution d’août 1983.
L’ancien Premier ministre Soumana Sako a tiré sa révérence, ce mercredi 15 octobre 2025. Né en Nyamina en 1950, Soumana Sako a obtenu le Diplôme d’étude fondamentale (DEF) en juin 1967 et le Bac trois ans plus tard, en se classant dans les cas deux Premier national.
En plus d’être de ferventes agricultrices, les femmes de Siby sont aussi de véritables gardiennes de la nature. Elles assurent la protection de l’environnement avec leur savoir-faire.
C’est aujourd’hui qu’on célèbre la Journée internationale de la femme rurale. À cette occasion, nous sommes allés à la rencontre des braves femmes de Siby dont la principale activité est de travailler la terre pour garantir la sécurité alimentaire dans la communauté et assurer leur a.
Les travaux de construction du principal caniveau qui traverse la ville de Kangaba ont démarré le jeudi 9 octobre. Ils sont financés par le budget de la Commune rurale de Minidian pour un montant total de 47.496.416 Fcfa. Le premier coup de pelle a été donné par le maire de cette commune, Mamb.
Le 2è adjoint au préfet de Diéma, Attayoub Ould Mohamed, à la tête d’une délégation restreinte, comprenant le 2è adjoint au maire de la Commune rurale de Diéma, Nakounté Sissoko, le chef du service subrégional du commerce et de la concurrence, Mamby Kamissoko, et des éléments des Forc.