
L’Association des éditeurs de presse en ligne au Mali
(Appel) a organisé du 12 au 14 avril 2022 à la Radio rurale de Kayes une
session de formation sur les droits humains et le journalisme d’investigation à
l’intention de 15 journalistes et animateurs de radios de la Région de Kayes.
Mais, la session a fini par enregistrer la participation d’autres journalistes de
la presse écrite et celle en ligne. La cérémonie d’ouverture était présidée par
le directeur exécutif par intérim d’Amnesty-Mali, Hamane Touré.
Initiée sur financement d’Amnesty international-Mali, la
formation s’inscrivait dans le cadre du projet de l’Observatoire citoyen contre
l’impunité et pour la redevabilité (OCCIPRE). Pendant trois jours, les
participants venus de Diéma, Kayes, Kéniéba, Kita, Nioro et Yélimané ont
échangé avec les formateurs Yaya Coulibaly (Amnesty Mali) et David Dembélé
(spécialiste en investigation journalistique). La modération était assurée par
notre confrère Assane Koné d’Appel.
Les représentants d’Amnesty Mali estiment que les médias
publics et privés jouent un rôle de service public. De ce fait, les organes de
presse (radios, télévisions, journaux et journaux en ligne) doivent davantage
s’intéresser aux questions des droits humains, afin de prendre en compte les
préoccupations des populations.
Il ressort des différentes communications que la Déclaration
universelle des droits de l’Homme a été adoptée au lendemain de la Seconde
Guerre mondiale, le 10 décembre 1948, par les Nations unies.
C’est le point de
départ d’un long et fastidieux processus d’internationalisation de la notion de
droits humains. Selon Yaya Coulibaly, des organisations de la société civile,
notamment celles des femmes, se sentent exclues lorsqu’on aborde le concept des
droits de l’Homme. Les associations féminines préféreraient le terme «droits
humains» qui prend en compte leurs préoccupations du fait de son caractère
inclusif.
D’après Wikipédia, les droits de l’Homme, droits
humains ou droits de la personne, sont un concept à la
fois philosophique, juridique et politique, selon lequel
tout être humain possède des droits universels, inaliénables, quel
que soit le droit positif (droit en vigueur) ou d’autres facteurs
locaux tels que l’ethnie, la nationalité ou la religion. Selon
ce concept, tout être a des droits «inhérents à sa personne, inaliénables et
sacrés» et donc opposables en toutes circonstances à la société et
au pouvoir.
Ainsi, le concept de droits de l’Homme est par définition
universaliste et égalitaire. Les droits de l’Homme, prérogatives dont sont
titulaires les individus, sont généralement reconnus dans les
pays démocratiques par la loi, par des normes de
valeur constitutionnelle ou par des conventions internationales,
afin que leur respect soit assuré par tous, y compris par l’État.
Nos confrères David Dembélé et Assane Koné se sont appesantis sur le journalisme d’investigation et ont échangé avec les participants sur les différents contours de l’enquête, notamment la formulation de l’hypothèse, la collecte et le traitement des données. Les participants ont estimé que cette formation leur permettra d’améliorer la qualité de leurs productions. Après la théorie, les journalistes et animateurs doivent maintenant passer à la phase pratique en traitant des sujets d’enquête.
Bandé Moussa SISSOKO / AMAP - Kayes
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