
Dans son communiqué publié lundi, le ministre Amadou Keïta, soucieux du retour au calme dans l’espace universitaire, n’a pas manqué d’apporter son soutien à toutes les tentatives de médiation entre les parties et d’inviter les responsables syndicaux à l’unité, lors des audiences qu’il leurs a accordées.
« Cette médiation a été portée par d’éminents professeurs à la retraite, les responsables de la Fédération nationale des parents des élèves et étudiants du Mali (FENAPEEM), ainsi que l’Amicale des anciens et sympathisants de l’Union des élèves et étudiants du Mali (AMSUNEEM), auxquels il convient de rendre tout l’hommage qu’ils méritent », signale le document.
Selon la même source, en dépit des efforts consentis, il est advenu des mots d’ordre de grève, lancés dans certaines structures des Institutions d’Enseignement Supérieur depuis plusieurs semaines, par une tendance qui se prévaut de doléances qu’elle ne peut avoir qualité à soumettre au gouvernement en l’état actuel des choses.
Pire, poursuit le communiqué, les responsables de cette tendance se répandent régulièrement dans la presse en présentant une version des faits qui est loin d’être conforme à la réalité. « En effet, cette affaire est et reste une crise interne à un syndicat qui n’a pu être résolue par la voie du dialogue et de la médiation », révèle le texte.
Aussi, c’est dans l’incompréhension totale que cette tendance a emprunté une voie sans issue en décidant de prendre en otage les cours auxquels les étudiants ont droit.
Le ministre en charge de l’Enseignement supérieur rappelle que la lutte syndicale, dans toutes ses manifestations, est régie par des textes en République du Mali qui commandent en droit et en devoir. « Par ces mêmes textes, autant le droit de grève est reconnu, autant tout fonctionnaire en situation de cessation de travail s’expose à la rigueur de la loi», soutient le Pr Amadou Keïta.
En vertu de ce principe, le ministre chargé de l’Enseignement supérieur a décidé de faire application des dispositions de la Loi n°84-47/AN-RM du 10 août 1987 relative à l’exercice du droit de grève dans les services publics. Il rappelle, par la même occasion, toute sa détermination à faire respecter les lois nationales dans toute leur rigueur.
Le ministre Keïta encourage les efforts de médiation en cours, bien que la situation ait été judiciarisée le 8 juin 2023, et en appelle au sens élevé de la responsabilité et de la retenue pour éviter aux structures concernées un retard préjudiciable aux étudiants, victimes désabusées.
Souleymane SIDIBE
À l’occasion du 38è anniversaire de l’assassinat du Président Thomas Isidore Noël Sankara, le chef de l’État burkinabè, le capitaine Ibrahim Traoré, a rendu un vibrant hommage au père de la Révolution d’août 1983.
L’ancien Premier ministre Soumana Sako a tiré sa révérence, ce mercredi 15 octobre 2025. Né en Nyamina en 1950, Soumana Sako a obtenu le Diplôme d’étude fondamentale (DEF) en juin 1967 et le Bac trois ans plus tard, en se classant dans les cas deux Premier national.
En plus d’être de ferventes agricultrices, les femmes de Siby sont aussi de véritables gardiennes de la nature. Elles assurent la protection de l’environnement avec leur savoir-faire.
C’est aujourd’hui qu’on célèbre la Journée internationale de la femme rurale. À cette occasion, nous sommes allés à la rencontre des braves femmes de Siby dont la principale activité est de travailler la terre pour garantir la sécurité alimentaire dans la communauté et assurer leur a.
Les travaux de construction du principal caniveau qui traverse la ville de Kangaba ont démarré le jeudi 9 octobre. Ils sont financés par le budget de la Commune rurale de Minidian pour un montant total de 47.496.416 Fcfa. Le premier coup de pelle a été donné par le maire de cette commune, Mamb.
Le 2è adjoint au préfet de Diéma, Attayoub Ould Mohamed, à la tête d’une délégation restreinte, comprenant le 2è adjoint au maire de la Commune rurale de Diéma, Nakounté Sissoko, le chef du service subrégional du commerce et de la concurrence, Mamby Kamissoko, et des éléments des Forc.