
La corruption affecte directement les jeunes
L’évènement a enregistré la présence de la directrice de la Cité des enfants, Aminata Cissé, du président de l’Oclei, Dr Moumouni Guindo, et de la représentante du Projet d’appui à la lutte contre la corruption pour et par l’égalité des genres (Luceg), Fily Niang. Des délégations venues du Burkina Faso, du Niger et de Madagascar ont pris part à la rencontre. La directrice de la Cité des enfants a salué les efforts consentis par les uns et les autres pour mettre en avant cette initiative éducative. Cela, dans le but de sensibiliser les élèves sur la corruption et aux valeurs morales.
Aminata Cissé a souligné l’utilité de discuter de ces thèmes dès le plus jeune âge, en s’appuyant sur l’éducation familiale et scolaire. Elle dira aussi que l’évènement, organisé en collaboration avec plusieurs écoles de Bamako, ambitionne d’élargir son impact à tout le Mali. L’objectif, selon elle, est d’inculquer aux enfants des principes d’intégrité et de citoyenneté tout en les encourageant à comprendre les enjeux sociétaux et la vision des autorités
Pour sa part, la présidente de la CPLC a indiqué que cette 9è édition de la Semaine de la jeunesse contre la corruption s’inscrit dans une dynamique de sensibilisation et d’engagement des jeunes contre ce fléau. Mariam Diama Sanogo a expliqué que c’est un événement international pour la lutte contre la corruption.
L’édition de cette année, a-t-elle indiqué, a vu la participation accrue des délégations venues du Burkina Faso, du Niger et de Madagascar. Celle de 2024 avait enregistré la présence du Congo-Brazzaville et du Gabon. Mariam Diama Sanogo a invité les élèves à s’engager activement pour un avenir plus juste et transparent. Elle a salué leur mobilisation qui démontre que la lutte contre la corruption est un combat collectif, et que la jeunesse a un rôle clé à jouer pour bâtir une société plus équitable et intègre.
Quant au président de l’Oclei, il a insisté sur l’implication de la jeunesse dans la lutte contre la corruption. Dr Moumouni Guindo a expliqué que la corruption affecte directement les jeunes dès leur naissance, en limitant l’accès aux soins de santé et à l’éducation. «Aujourd’hui, les parents doivent supporter des coûts élevés pour l’éducation de leurs enfants», a-t-il regretté.
Selon la représentante du projet Luceg, la Semaine de la jeunesse contre la corruption est organisée dans le cadre du projet Luceg, financé par Affaires mondiales Canada et mis en œuvre par l’École nationale d’administration publique du Québec.
Elle a relevé que la jeunesse est un acteur clé dans la construction d’un avenir sans corruption.
Gaoussou TANGARA
Rédaction Lessor
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