
Un homme avait été retrouvé pendu à son domicile. Le jeune homme s’était donné la mort. Les faits se sont passés à Quinzambougou, en Commune II du District de Bamako.
A.S, la trentaine d’années, est un jeune homme de nationalité indienne. C’est lui qui s’est suicidé en se pendant à son domicile. La sordide histoire de suicide par pendaison s’est déroulée dans la journée du 15 septembre dernier. Ce jour-là, aux environs de 14 heures, le commissariat du 3ème arrondissement, dirigé par le commissaire divisionnaire, Amadou Balobo Maïga, et dont relève le secteur, a été saisi téléphoniquement pour un cas de corps inanimé.
Dans le feu de l’action, le divisionnaire Amadou Balobo a instruit à une équipe de se rendre sur les lieux aux fins de constatation et d’enquête. Ainsi, cette équipe, dirigée par le major de police, Kabine Kamissoko, en compagnie d’un agent de santé du CSREF de la Commune et d’une équipe de la police technique et scientifique, s’est rendue sur les lieux. À leur arrivée, l’équipe trouvera sur place un attroupement de curieux devant une concession.
Une fois entrés dans ladite maison, après avoir longé le couloir menant aux compartiments, dans la chambre située à droite, les limiers découvriront un jeune homme de teint clair, étalé sur un lit, le cou passé entre un drap accroché à l’hélice d’un ventilateur du toit.
Il avait les yeux et les poings fermés, la jambe gauche fléchie, la droite bien dressée. Sa langue pendante, des traces de salive sur la bouche. Sur le lit, les enquêteurs ont également vu un escabeau, qui lui aurait probablement servi à se hisser à hauteur du drap pour parvenir à ses fins.
Après ce constat, les policiers seront informés de son décès qui remonterait à une heure environ, selon l’agent de santé. À la suite du constat corporel effectué par l’agent de santé, ils n’ont trouvé aucune trace d’égratignure ni de blessures apparentes sur le corps de la victime. Une fouille du lieu s’imposait. Et c’est ce qui a été fait par les policiers qui ont remué la chambre de fond en comble. Ils ont ainsi découvert une lettre manuscrite écrite par le défunt lui-même.
Dans la missive, la victime évoquait la raison l’ayant poussé au suicide. Il s’agit de soucis financiers à son travail, écrivait-il. Étant agent commercial et représentant d’une marque de thé, il aurait puisé dans la caisse de l’entreprise dont il gérait le fonds, pour aider un compatriote dans des difficultés. Une somme qu’il n’a pu restituer avant la venue de son employeur pur une inspection. La cause : son ami à qui il avait prêté l’argent, s’était enfuit avec le « pognon ». Ce qui l’aurait poussé à se donner la mort.
Après avis au procureur de la République près le tribunal de grande instance de la Commune II du District de Bamako, le corps a été transporté par les agents de la Voirie de la Commune II au CHU Gabriel.
Z. T. D.
Rédaction Lessor
À l’occasion du 38è anniversaire de l’assassinat du Président Thomas Isidore Noël Sankara, le chef de l’État burkinabè, le capitaine Ibrahim Traoré, a rendu un vibrant hommage au père de la Révolution d’août 1983.
L’ancien Premier ministre Soumana Sako a tiré sa révérence, ce mercredi 15 octobre 2025. Né en Nyamina en 1950, Soumana Sako a obtenu le Diplôme d’étude fondamentale (DEF) en juin 1967 et le Bac trois ans plus tard, en se classant dans les cas deux Premier national.
En plus d’être de ferventes agricultrices, les femmes de Siby sont aussi de véritables gardiennes de la nature. Elles assurent la protection de l’environnement avec leur savoir-faire.
C’est aujourd’hui qu’on célèbre la Journée internationale de la femme rurale. À cette occasion, nous sommes allés à la rencontre des braves femmes de Siby dont la principale activité est de travailler la terre pour garantir la sécurité alimentaire dans la communauté et assurer leur a.
Les travaux de construction du principal caniveau qui traverse la ville de Kangaba ont démarré le jeudi 9 octobre. Ils sont financés par le budget de la Commune rurale de Minidian pour un montant total de 47.496.416 Fcfa. Le premier coup de pelle a été donné par le maire de cette commune, Mamb.
Le 2è adjoint au préfet de Diéma, Attayoub Ould Mohamed, à la tête d’une délégation restreinte, comprenant le 2è adjoint au maire de la Commune rurale de Diéma, Nakounté Sissoko, le chef du service subrégional du commerce et de la concurrence, Mamby Kamissoko, et des éléments des Forc.