
Après un passage à Abidjan (Côte d’Ivoire), le couple s’est installé en France où il a côtoyé des musiciens de renommée internationale comme Matthieu Chedid et Manu Chao. Des collaborations qui ont donné naissance à des chansons populaires comme «Je pense à toi», «Sabali», «Le dimanche à Bamako».
Sur la scène internationale, le duo enchaînait des concerts par an. Surtout pendant les festivals d’été en Europe et Outre Atlantique. Le couple était aussi attaché au Mali où il apparaissait à des festivals et il donnait des concerts à Bamako et dans les villes de l’intérieur. C’est d’ailleurs au cours d’une série de concerts que le guitariste chanteur, Amadou Bagayoko a attrapé le paludisme et la fièvre typhoïde qui ont fini par l’emporter comme l’a expliqué son épouse à nos confrères de TV5 Monde.
Pendant toute sa carrière, le couple chantait en duo. Les albums se sont succédé au fil des années mais toujours c’est la voix suave de Mariam qui accompagnait celle plus ou moins grave d’Amadou Bagayoko pour faire danser les mélomanes au Mali, en Afrique, en France et à travers le monde.
On imagine difficilement donc Mariam Doumbia évoluer seule sur la scène sans son «bien aimé», son «chéri» et son complice Amadou Bagayoko avec qui elle a tout partagé près d’un demi siècle.
Mais on ne sait jamais, car la vie est pleine de surprises. Tout comme le métier de musique. Beaucoup de fans du couple non voyant à travers le monde, souhaitent, sinon parient encore sur l’espoir d’écouter de nouvelles chansons de notre Mariam nationale.
En espérant qu’elle passera le cap du veuvage, avec courage et stoïcisme.
Madiba KEÏTA
Par décret N°2025-0268 du 25 avril 2025, le président de la Transition a institué une opération dénommée «Dougoukoloko» visant à rétablir l’État du Mali dans ses fonctions régaliennes sur toute l’étendue du territoire national, en s’appuyant sur l’action des Forces armées et .
Ce financement est destiné à faire face à la situation d’urgence : chocs climatiques, insécurité alimentaire, déplacements liés aux conflits armés.
La relecture de la Charte des partis politiques ravise aujourd’hui les débats politiques dans notre pays. Le Mali compte actuellement près de 300 partis politiques et lors des Assises nationales de la refondation (ANR) tenues en décembre 2022, la réduction de leur nombre fait partie des recom.
Faut-il dissoudre les partis politiques ? C’est par cette question que Me Cheick Oumar Konaré, avocat au barreau malien et ancien journaliste, verse son analyse sur le débat concernant la réduction du nombre des partis politiques dans le cadre de la relecture de la Charte des partis politiques .
Le Président de la Transition et Président de la Confédération des États du Sahel (AES), le Général d’armée Assimi Goïta, a, dans un communiqué rendu public hier, annoncé que le Collège des Chefs d’État de la Confédération AES regrette la destruction d’un drone des Formes armé.
En réaction, le gouvernement a convoqué l’ambassadeur algérien pour protester contre l’hostilité du régime algérien.