
Selon des
chiffres communiqués, on dénombre plus de 100 millions d’armes
illicites en circulation sur le continent
C’était au Mémorial Modibo Keïta en présence du représentant de l’Union africaine, Fulgence Zeneth, de la représentante du Bureau des Nations unies pour les affaires de désarmement, Mme Anna Sackey, ainsi que du secrétaire permanent de la Commission nationale de lutte contre la prolifération des armes légères et de petit calibre, le Colonel Adama Diarra. Initiative menée
conjointement par le Bureau
des Nations unies pour les affaires de désarmement, la Commission nationale de lutte
contre la prolifération des armes légères et de petit calibre et l’Union
africaine (UA), le mois de l’amnistie pour l’Afrique vise à renforcer la paix
et la sécurité sur le
continent. La démarche s’inscrit également dans le cadre de l’initiative «faire
taire les armes» de l’UA qui aspire à une Afrique prospère et pacifique.
Selon des
chiffres communiqués, on dénombre plus de 100 millions d’armes
illicites en circulation
sur le continent dont environ 75% seraient entre les mains des détenteurs
non autorisés faisant un mort chaque minute et forçant au même moment, 16
autres personnes à se déplacer ou à se réfugier.
Pour le secrétaire
permanent de la Commission nationale de
lutte contre la prolifération des armes légères et de petit
calibre, la célébration du mois de l’amnistie offre l’occasion de sensibiliser
les communautés et favoriser leur adhésion à l’idée de rendre librement les
armes qu’elles détiennent illégalement.
Dans ce cadre, dira le Colonel Adama Diarra, plusieurs activités
importantes impliquant toutes les couches socio-professionnelles seront menées
dans notre pays durant la période. «Nous allons mener des activités de
sensibilisation sous forme de caravane à
travers certaines régions touchées par la violence», a-t-il
indiqué.
De son côté, le représentant du ministre de la Sécurité et de la Protection civile dira que le mois de l’amnistie est une invitation forte à changer de cap, à abandonner les logiques de confrontation et à construire ensemble les fondations durables de la paix, de la sécurité humaine et de la cohésion nationale. D’après le Contrôleur principal de police Seydou Mamadou Doumbia, c’est un mois qui offre une opportunité unique à encourager ceux qui ont pris les armes à les déposer volontairement dans un cadre clair, sécurisé et juridiquement encadré.
Alassane Cissouma
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