Une vue des participants à la rencontre
Cette session tenue, mardi dernier dans la cour de la structure, était
animée par l’ancien ministre de la Refondation, Mohamed Coulibaly, le
professeur Ibrahima Iba N’diaye et Younoussa Bengaly. L’objectif de la formation était
de mieux faire connaître les symboles et les valeurs visées, de s’en approprier
pour en faire bon usage dans un esprit civique de bon citoyen.
Mohamed Coulibaly a souligné
l’importance des questions des valeurs pour notre pays qui est en pleine
refondation. Au cours de son exposé, il a fait remarquer qu’en dehors de
l’école et du service, nulle part le citoyen ne dispose de cadre
d’apprentissage des symboles usuels, ni des valeurs référentielles qui
président à l’animation de la vie publique par les employés de l’état, les élus
ou tout autre intervenant.
L’ancien ministre de la Refondation a rappelé que la
symbolique étatique et les valeurs républicaines ne sont pas connues des
fonctionnaires en général et même des cadres. Pour cela, il sied pour l’État de
cultiver l’esprit patriotique chez l’ensemble de ses citoyens, ses agents. Tout
en exaltant leur sentiment national à travers les symboles du pays et les
valeurs à promouvoir au sein de la société.
À l’indépendance, notre pays
s’est doté de symboles s’inspirant de son glorieux passé de civilisation. Parmi
ces symboles, on retient le drapeau, la devise, l’hymne national, le sceau et
les armoiries. Selon Mohamed Coulibaly, le drapeau est une pièce d’étoffe
attachée à une hampe hissée sur un mat ou accrochée à un édifice à l’effigie de
la nation. Il sert d’emblème de l’état et détermine les couleurs nationales et
est composé de trois bandes verticales égales de couleur vert, or et rouge. La
devise est une formule laconique qui
symbolise l’idéal, traduit les valeurs cardinales et reflète l’âme du peuple.
Le troisième symbole est l’hymne
national. L’ancien ministre de la Refondation a expliqué qu’il est joué pour
honorer la République, son drapeau et les autorités qui la représentent. Ce
chant patriotique exprime la cohésion et l’attachement des Maliens à leur pays.
Le seau désigne une empreinte conventionnelle servant à l’identification et
plus généralement une marque apposée sur un objet, un document ou même un bien.
Les armoiries de la République, a-t-il expliqué, sont constituées par un
ensemble de signes comprenant des textes figurés, ornements et coloris qui
caractérise et distingue sa personnalité.
De son côté, le professeur Ibrahima Iba N’diaye a centré sa présentation sur les valeurs républicaines et sociétales. Pour l’enseignant, les valeurs fondamentales jouent un rôle essentiel dans notre société. Rappelant l’histoire de notre pays, il a mis l’accent sur les valeurs qui sont les fondements historiques du Mali. Ce pays, selon Ibrahima Iba N’diaye, ne tombera pas si on retourne à nos valeurs.
La session a été marquée par la remise de trophée au premier responsable de la direction régionale du budget du District, Koman Coulibaly par le groupe Benkan Mali vision média.
Mariétou KOITE
«Merci Assimi», «L’eau c’est la vie», «le Groupe scolaire de Kalabancoura Sud vous dit merci», «Vive la Transition». Ces messages étaient exhibés par les élèves du Groupe scolaire de Kalaban-coura Sud et celui de Baco-Djicoroni lors de la cérémonie d’inauguration des forages et d.
Les frappes aériennes d’envergure combinées aux opérations terrestres menées à cet effet auraient également permis la neutralisation d’un important chef terroriste local. Ces informations sont en cours d’analyse et de vérification, selon l’Armée.
La session doit surtout permettre à l’institution d’examiner les différents dossiers transmis par le gouvernement pour avis.
Les hommes des médias se sont bien appropriés de ce processus de dialogue entre les Maliens, qui doit permettre de poser les jalons de la paix définitive et du bon vivre ensemble. Les journalistes qui sont aussi des témoins de l’histoire n’entendent pas rester en marge de cette rencontre.
Le rôle d’une hôtesse évènementielle consiste à accueillir physiquement les invités comme il se doit, les conduire à leur place et être aux petits soins des participants. Pour le bon déroulement de la phase nationale du Dialogue inter-Maliens, qui a débuté, lundi au Centre international.
L’octroi de la grâce relève du pouvoir discrétionnaire du chef de l’État. Cette année, 298 prisonniers ont été sélectionnés parmi plus de 500 détenus. Les critères retenus sont notamment le bon comportement pendant la détention, l’amendement et ne pas être en lien avec des organis.