L’ouverture de cet évènement était présidée par le représentant du maire de la capitale, Ibrahima Dioné. Outre les responsables de l’hôtel de ville, la cérémonie a enregistré la présence de la directrice générale du groupe Dana, Sissoko Fadima Alzahra Touré et des partenaires techniques financiers. La directrice générale du Groupe Dana a souligné que cette édition intervient dans un contexte particulièrement difficile pour notre pays notamment sur le plan sécuritaire, économique et sanitaire. « Dana Groupe a décidé de s’investir auprès des autorités maliennes, des partenaires techniques et financiers, de la société civile pour donner des moments de bonheur, de joie et de convivialité aux populations à travers le concept ‘’Villes Lumières du Mali’’ », a indiqué Sissoko Fadima Alzahra Touré. Selon la responsable du Groupe Dana, pour cette 5è édition, les initiateurs voudraient toucher 5 régions. 5 ans, 5 villes, c’était cela le concept initial. Mais la situation sécuritaire, sanitaire et économique que traverse notre pays ne nous a pas épargné. Néanmoins, la responsable de l’entreprise a souligné que cette année, Bamako, Kati et Ségou ont été décorées. Les Maliens veulent voir aussi leurs villes scintiller de mille et une couleurs en période de fin d’année. « C’est ce que nous nous évertuons de leur offrir, édition après édition, depuis 5 ans. Nous aimons notre pays, nous continuerons à l’orner des plus belles parures que nous puissions avoir », a-t-elle rassuré. Le représentant du maire du district a déclaré que cet événement, marqué par la lumière, est surtout révélateur de l’activité de modernité, du dynamisme et de l’enthousiasme de notre ville, capitale de notre pays. « Nous nous réjouissons de constater qu’à cette 5è édition, les illuminations, le nombre des entreprises partenaires qui sont intervenues a très significativement évolué », s’est-il réjoui. Toute chose qui fera dire à Ibrahima Dioné que c’est un bel exemple de dynamisme de notre ville et de l’impulsion que les élus du District de Bamako souhaitent voir se maintenir et se développer. L’édile a souligné que les lumières magnifiques qui scintilleront durant les fêtes symbolisent véritablement le passage à l’année nouvelle. Et seront l’occasion renouvelée pour l’ensemble des habitants de Bamako de se réunir et de partager des moments merveilleux. Une projection des anciennes éditions était également menu de la cérémonie. Les invités ont pu voir les monuments et les endroits clés qui ont été décorés. M. KOITÉ
La rencontre de Bamako va permettre de mettre en place les organes dirigeants de la BCID-AES, valider les textes fondateurs tout en veillant à la disponibilité des moyens techniques, financiers, juridiques et humains nécessaires à son développement.
À la place des statues des explorateurs et des gouverneurs du Soudan français, se trouvent désormais celles des résistants à la pénétration coloniale et des figures emblématiques de notre Armée.
Il est bien loin ce temps où Radio Mali et L’Essor mobilisaient seuls tous les sens des citoyens maliens et façonnaient l’opinion. Jusqu’en 1983, lorsqu’ils furent rejoints par la télévision nationale. La nouvelle venue ne faisait qu’agrandir la famille des «médias publics»..
Dans un environnement informationnel en constante mutation, démêler le vrai du faux est devenu un enjeu majeur. Et ce combat contre la désinformation nécessite obligatoirement le respect des principes du journalisme..
Les médias traditionnels ou classiques prennent le temps de recouper l’information avant de la diffuser. Tel n’est pas forcément le cas des nouveaux acteurs du métier appelés «vidéoman» qui, à la recherche de buzz et de sensation forte pour se faire plus d’audience, tombent facilement .
Dans les lignes qui suivent, nos deux interlocuteurs se sont prononcés sur les rôles de l’Essor et de l’ORTM dans l’ancrage institutionnel de notre pays, leur adaptation à l’évolution numérique, les défis et la contre-attaque dans le cadre de la guerre informationnelle.