Il vient d’être déféré devant le parquet pour « cambriolage ». Spécialisé
dans la commission de cette infraction, le garçon a longtemps troublé la quiétude
des habitants de Niamana et ses environs à la périphérie du District de Bamako.
Curieusement à la différence de plusieurs malfrats de son acabit, il n’agissait
que durant la journée. Il profitait toujours de l’absence de ses potentielles
victimes pour sévir.
Malheureusement pour lui, son règne a pis fin il y a
quelques jours. Le bandit est tombé dans les mailles du filet des hommes du
commissaire principal, Mamoudou Sanogo du commissariat de N’Tabacoro.
Le jeune
homme a, de peu échappé dans un premier temps à la vindicte populaire,
lorsqu’il a été coincé grâce à la
clameur publique. Il a été par la suite interpellé par le commandant Mamadi
Modi Niakaté et ses éléments de la Brigade des recherches. Puis son dossier a été
diligenté pour être mis à la disposition du parquet.
Pour son interpellation, les limiers ont bénéficié
de la collaboration des populations. Comme il en avait l’habitude, YS s’était introduit dans le domicile de MD
en son absence. Lorsqu’il opérait tranquillement, les bruits de pas provenant
de la maison ont alerté un maçon qui travaillait dans le voisinage immédiat.
Convaincu d’une présence étrangère dans cette maison, l’ouvrier a immédiatement
alerté d’autres personnes du voisinage.
Ensemble, ils se sont approchés des
lieux et ont aperçu le cambrioleur qui sortait du salon de sa victime et s’apprêtait
à escalader le mur de clôture. Le malheureux est aussitôt pris en chasse avant
d’être coincé par ses poursuivants. Il a été sérieusement molesté avant d’être
remis aux policiers à leur arrivée.
Conduit au commissariat de police, le bandit a reconnu les faits à la suite de son audition, avant d’être mis à la disposition du parquet de la Commune VI du District de Bamako
N’Tabacoro-ATT-Bougou : JOUR DE CHANCE DES BRAQUEURS
N’Tabacoro-ATTbougou est un secteur du
quartier cité, constamment secoué par
des braqueurs à main armée. Selon nos sources à la police, l’un des récents cas
s’est passé, il y ‘a quelques semaines. Ce jour-là, aux environs de 21 heures,
un certain Souleymane, la trentaine, employé de commerce de son état, et
habitant du secteur a été victime d’un braquage à main armée par deux individus
non identifiés.
Selon nos sources, ce jour là, l’employé de
commerce rentrait chez lui à moto après une journée de travail. Pendant qu’il
roulait tout calmement, deux individus conduisant une moto lui ont barré la
route. Après un bref échange pour le divertir, un des inconnus lui a pointé une
arme en le sommant de descendre de sa moto.
L’employé de commerce a obtempéré sans
broncher. Ils l’ont retiré son engin et l’ont ensuite sommé de se mettre à plat
ventre à terre. Puis, ils l’ont méthodiquement fouillé pour enlever son téléphone
portable et une somme de cent mille francs CFA. La victime ne s’est pas avouée
vaincue. Elle s’est défendue et a fait un mouvement brusque pour déséquilibrer
son vis- à-vis.
Le malfrat a perdu son arme dans la nasse et la victime a alerté
les passants en criant au voleur. C’était suffisant pour que les curieux
envahissent les lieux. Son complice ayant senti que les choses tournaient au
vinaigre s’est débarrassé de la moto de leur victime pour détaler.
Les braqueurs se sont finalement échappés en laissant derrière eux leur butin en même temps que leur arme. Aidé par la foule, l’homme est sortie indemne et est même entré en possession de sa moto. L’arme des bandits fugitifs a été remise aux policiers.
Tiedié DOUMBIA
À cause de l’appât du gain facile, il avait quasiment tout dans son viseur. Son opération contre la construction du cimetière a été la dernière pour lui.
Mobiliser les ressources, les partenaires techniques et financiers et les autres parties prenantes pour soutenir la mise en œuvre du plan Page Mali d’intégration des services de planification familiale post-partum (PFPP)/Santé de la reproduction maternelle, néonatale et infantile (SRMNI)/Nutri.
Père de plus d’une dizaine d’enfants, il n’a pas résisté à la tentation d’abuser sexuellement de sa fille adoptive. Il s’est finalement retrouvé devant les juges.
Le secrétaire général de la plus grande centrale syndicale dirige un nouveau bureau de 53 membres. Il a promis que les résolutions, recommandations de ces assises constitueront l’ossature des activités pendant ce nouveau mandat.
Il était le seul à fournir la cité aurifère de ce produit stupéfiant qu’il exportait de son pays natal vers le nôtre. Les policiers lui ont coupé l’herbe sous les pieds.
Armes à la main, ils se sont introduits dans l’échoppe d’une commerçante, puis l’ont obligée à leur remettre le contenu de la caisse. L’opération s’est soldée par un échec.