
Dès que l’Armée malienne monte en puissance pour traquer les ennemis de la République, des officines tapies dans l’ombre montent de toutes pièces des allégations mensongères qu’elles collent aux godasses de nos soldats. Et des organisations prétendument dédiées aux droits de l’Homme reprennent complaisamment ces allégations, sans aucune précaution de vérification.
Ces officines restent muettes comme des carpes quant aux exactions sanglantes perpétrées par les forces du mal contre les paisibles populations civiles maliennes. Leur objectif n’est guère de protéger les populations. Il s’agit plutôt d’instrumentaliser les droits de l’Homme à des fins inavouées.
L’État-major général, dans un communiqué rendu public samedi, n’a pas manqué d’opposer un démenti formel aux récentes allégations de nature à jeter le discrédit sur les Forces de défense et de sécurité du Mali.
Dans son communiqué, l’Armée explique que depuis jeudi dernier, “une vidéo et une audio montées de toutes pièces”, circule sur les réseaux sociaux, faisant état d’une exécution sommaire collective sur des populations civiles dans le secteur de Diabaly, dans la nuit du 1er au 2 mars 2022. Les auteurs du montage imputent la responsabilité de ces actes odieux aux Forces armées maliennes (FAMa).
L’État-major général des Armées rappelle que les FAMa sont respectueuses des droits de l’Homme et du Droit international humanitaire. ”Les Forces armées maliennes ne sauraient être responsables d’une telle abjection et ces informations constituent de la désinformation”, dénonce l’Armée qui rappelle que l’une des missions premières des FAMa demeure la protection des personnes et des biens et que cet acte ne constitue, en aucune manière, le mode opératoire de nos forces.
En dépit de l’absurdité de ces accusations portées contre les militaires maliens, une enquête est déjà ouverte pour situer les responsabilités et identifier le lieu du crime. Par ailleurs, relève le communiqué, les FAMa ne se laisseront pas distraire par ces allégations tendancieuses et mèneront à bout la dynamique offensive enclenchée depuis le mois de décembre dernier.
La mécanique visant à jeter du discrédit sur l’Armée malienne est bien huilée. Mais elle n’arrêtera pas le Mali dans sa lutte contre les velléités séparatistes et les ambitions de dominations obscurantistes.
La Rédaction
Rédaction Lessor
À l’occasion du 38è anniversaire de l’assassinat du Président Thomas Isidore Noël Sankara, le chef de l’État burkinabè, le capitaine Ibrahim Traoré, a rendu un vibrant hommage au père de la Révolution d’août 1983.
L’ancien Premier ministre Soumana Sako a tiré sa révérence, ce mercredi 15 octobre 2025. Né en Nyamina en 1950, Soumana Sako a obtenu le Diplôme d’étude fondamentale (DEF) en juin 1967 et le Bac trois ans plus tard, en se classant dans les cas deux Premier national.
En plus d’être de ferventes agricultrices, les femmes de Siby sont aussi de véritables gardiennes de la nature. Elles assurent la protection de l’environnement avec leur savoir-faire.
C’est aujourd’hui qu’on célèbre la Journée internationale de la femme rurale. À cette occasion, nous sommes allés à la rencontre des braves femmes de Siby dont la principale activité est de travailler la terre pour garantir la sécurité alimentaire dans la communauté et assurer leur a.
Les travaux de construction du principal caniveau qui traverse la ville de Kangaba ont démarré le jeudi 9 octobre. Ils sont financés par le budget de la Commune rurale de Minidian pour un montant total de 47.496.416 Fcfa. Le premier coup de pelle a été donné par le maire de cette commune, Mamb.
Le 2è adjoint au préfet de Diéma, Attayoub Ould Mohamed, à la tête d’une délégation restreinte, comprenant le 2è adjoint au maire de la Commune rurale de Diéma, Nakounté Sissoko, le chef du service subrégional du commerce et de la concurrence, Mamby Kamissoko, et des éléments des Forc.