
Cet atelier
vise à contribuer au renforcement des capacités des femmes ciblées pour leur
émergence à travers l’outil de la diplomatie préventive en vue de promouvoir
leur rôle dans le processus de la réconciliation pour la paix et la
reconstruction post-conflit.
Prenant la
parole lors de la cérémonie d’ouverture, le ministre Diop a souligné
l’importance, le rôle et la place de choix de la prévention dans le domaine de
la diplomatie, en se référant à la Charte des Nations unies qui, dès son
article 1, fixe comme principal objectif de l’ONU, le maintien de la paix et de
la sécurité internationales à travers des mesures pour prévenir et écarter les
menaces.
Dans cette
même dynamique, Abdoulaye Diop a dénoncé l’exacerbation actuelle des menaces et
des crises à travers le monde, tout en évoquant la situation particulière au
Mali où les autorités poursuivent leur engagement résolu à contenir et résoudre
la crise à laquelle le pays fait face depuis l’intervention de l’OTAN en Libye.
Illustrant
son raisonnement par la saisine du Conseil de sécurité des Nations unies du
fait d’agression du Mali de la part d’un État tiers, le chef de la diplomatie
malienne a soutenu que cette saisine, bien qu’elle s’inscrive dans le cadre
d’une crise déjà en cours, concourt également de la diplomatie préventive dans
la mesure où elle vise à prévenir l’aggravation d’une situation préexistante.
Il a laissé entendre que le Conseil de sécurité, organe responsable et garant de la paix et de la sécurité internationales, est attendu sur la suite réservée à cette affaire. Dans le même ordre d’idée, Abdoulaye Diop a réaffirmé l’attachement du gouvernement aux mécanismes pertinents de prévention et de gestion des conflits et, dans la mesure du possible, n’entend pas s’écarter de la voie de leur résolution pacifique, sauf cas de force majeure.
Le ministre
a longuement soutenu la thèse du nécessaire accroissement des investissements
dans le domaine de la prévention des crises et conflits en s’armant de courage
et de méthode en vue de circonscrire et de renverser la tendance actuelle de
généralisation de crises.
Pour
conclure, le ministre Diop a déclaré que le Mali nouveau que les Maliens
appellent de leurs vœux, inscrira notre pays dans la dynamique positive où nous
vivrons à nouveau en paix entre nous et en paix avec tous nos partenaires, dans
le respect des principes qui guident toute action publique, à savoir : le
respect de la souveraineté du Mali; le respect des choix stratégiques et le
choix des partenaires opérés par le Mali et la défense des intérêts vitaux du
peuple malien dans les décisions prises.
Source : Bureau de l’Information et de la Presse/MAECI
Rédaction Lessor
À l’occasion du 38è anniversaire de l’assassinat du Président Thomas Isidore Noël Sankara, le chef de l’État burkinabè, le capitaine Ibrahim Traoré, a rendu un vibrant hommage au père de la Révolution d’août 1983.
L’ancien Premier ministre Soumana Sako a tiré sa révérence, ce mercredi 15 octobre 2025. Né en Nyamina en 1950, Soumana Sako a obtenu le Diplôme d’étude fondamentale (DEF) en juin 1967 et le Bac trois ans plus tard, en se classant dans les cas deux Premier national.
En plus d’être de ferventes agricultrices, les femmes de Siby sont aussi de véritables gardiennes de la nature. Elles assurent la protection de l’environnement avec leur savoir-faire.
C’est aujourd’hui qu’on célèbre la Journée internationale de la femme rurale. À cette occasion, nous sommes allés à la rencontre des braves femmes de Siby dont la principale activité est de travailler la terre pour garantir la sécurité alimentaire dans la communauté et assurer leur a.
Les travaux de construction du principal caniveau qui traverse la ville de Kangaba ont démarré le jeudi 9 octobre. Ils sont financés par le budget de la Commune rurale de Minidian pour un montant total de 47.496.416 Fcfa. Le premier coup de pelle a été donné par le maire de cette commune, Mamb.
Le 2è adjoint au préfet de Diéma, Attayoub Ould Mohamed, à la tête d’une délégation restreinte, comprenant le 2è adjoint au maire de la Commune rurale de Diéma, Nakounté Sissoko, le chef du service subrégional du commerce et de la concurrence, Mamby Kamissoko, et des éléments des Forc.