
L’UIP est la principale plateforme
parlementaire internationale qui rassemble les parlements du monde entier pour
discuter des questions urgentes et d’intérêt mondial. Elle vise aussi à
renforcer la coopération internationale et encourager le dialogue multilatéral.
Cette rencontre a été l’occasion pour les parlements du monde de débattre de l’importance
de la coexistence pacifique et de la nécessité de combattre l’intolérance pour
instaurer des sociétés inclusives reposant sur les fondements de la démocratie
et de la paix.
Dans son discours lors de cette
importante rencontre, Hamidou Traoré a salué le Conseil consultatif et le
Conseil des représentants de Bahreïn pour l’honneur fait à notre pays en
l’invitant à prendre part à cette session de l’UIP. Selon lui, cette rencontre
se tient à point nommé car notre planète traverse aujourd’hui une période
particulièrement agitée qui met à mal la coexistence pacifique et la
réalisation des sociétés inclusives et les valeurs du vivre ensemble.
«Ces
défis contemporains qui trouvent leur origine dans l’exacerbation de
l’intolérance, érigée en système de gouvernance sous certains cieux, menacent
l’avenir de l’humanité et éloignent de nous, le rêve d’une société mondiale
plurielle et diversifiée basée sur la tolérance, l’inclusivité et la solidarité
universelle», a souligné le 6è vice-président du CNT.
D’après Hamidou Traoré, le thème
du débat général de cette assemblée intitulé : «Promouvoir la coexistence
pacifique et les sociétés inclusives : combattre l’intolérance» reflète
aujourd’hui la préoccupation de la grande majorité des citoyens du monde et des
sociétés démocratiques. Le représentant du président du CNT a indiqué que notre
pays est, malheureusement depuis une décennie, le théâtre de cette intolérance
dont les populations civiles payent le plus lourd tribut avec des déplacements
massifs, la fermeture des classes, l’absence de structures sanitaires de base
et des risques d’insécurité alimentaire avec des femmes et des enfants comme
principales victimes.
Pour Hamidou Traoré, cette assemblée se doit d’être une
opportunité pour les pays sous-développés d’obtenir des investissements
conséquents pour soutenir leur programme de développement prioritaire. Mais
aussi pour pouvoir financer leurs économies de manière à permettre à ces États
de pouvoir faire face aux défis que sont la lutte contre la pauvreté,
l’accès à la santé et à l’éducation, l’autosuffisance alimentaire et
l’insécurité.
«Les citoyens du monde attendent
des résultats. Beaucoup de discours depuis plus de cent ans, mais très peu de
progrès. L’heure est à l’action et au pragmatisme. Il faut agir et chaque
minute compte pour les nombreuses populations défavorisées dans le monde», a
insisté le 6è vice-président du CNT. Et de dire que les États riches doivent
faire face à leur devoir et responsabilité afin d’aider les pays pauvres à
promouvoir la coexistence pacifique et les sociétés inclusives. Et combattre
l’intolérance par l’amélioration des conditions de vie des populations.
Cette 146è assemblée de l’UIP a été sanctionnée par une importante déclaration dans le cadre de la promotion de la coexistence pacifique, des sociétés inclusives et de la lutte contre l’intolérance.
Dieudonné DIAMA
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