
Sont notamment concernés les Généraux de brigade Abass Dembélé et Néma Sagara, les Lieutenants-colonels Amadou Keïta, Moro Sidibé, Mamadou dit Tiécoro Diarra, Soungalo Diop et Baba Dembélé, ainsi que plusieurs capitaines. Un arrêté du ministre chargé de la Défense met également fin au contrat du Sergent-chef Boucary Kracodio.
Ces importantes décisions suivent l’arrestation récente d’officiers soupçonnés de manœuvres de déstabilisation, suite à des enquêtes internes révélant des comportements « contraires à la discipline et à la loyauté ». Le gouvernement avait déjà annoncé, le 14 août, l’arrestation d’un groupuscule visant à déstabiliser les institutions, dont un ressortissant français, Vezilier Yann.
Les autorités de la Transition affirment que la situation est sous contrôle et réitèrent leur détermination à consolider la discipline et la cohésion au sein des Forces armées, piliers de la stabilité nationale.
Souleymane SIDIBE
Le Premier ministre, le Général de division Abdoulaye Maïga, a reçu ce vendredi 10 octobre 2025 une délégation de l’Amicale des anciens ambassadeurs et consuls généraux du Mali, conduite par son président, Dr Abdoulaye Amadou Sy..
En ce mois d’octobre placé sous le signe de la solidarité et du partage, deux cents familles vulnérables de Bakaribougou, en Commune II du District de Bamako, ont bénéficié de dons alimentaires offerts par le Président de la Transition, le Général d’armée Assimi Goïta, à travers ses .
Dans les lignes qui suivent, l’enseignant-chercheur à la Faculté de droit privé de l’Université Kurukanfuga de Bamako explique les implications de ces infractions et leurs impacts sur l’immunité parlementaire.
Outre la loi de finances 2026, une dizaine de projets de loi sont déjà inscrits dans le tableau de saisines de l’organe législatif de la Transition.
Les membres du Conseil national de Transition (CNT) s’apprêtent à reprendre leurs activités parlementaires..
Les deux membres du Conseil national de Transition (CNT) visés par la plainte des anciens responsables politiques sont Moulaye Kéita et Biton Mamary Coulibaly. Ils sont cités pour «menace par le biais d'un système d'information, injures par le biais d'un système d'information, dénonciation c.