Le directeur général de la BMS-SA, Lanfia Koïta, effectuant l’opération inaugurale
Dans une interview accordée à la presse à cette occasion, le directeur général a expliqué que l’objectif est de décongestionner les guichets au niveau des agences les plus fréquentées, notamment les agences 1001 et 1002. Selon Lanfia Koïta, cette politique sera poursuivie afin d’offrir un meilleur confort aux clients dans la réalisation de leurs opérations bancaires. «Il s’agit aussi de pousser la digitalisation à son maximum, pour que les clients puissent se sentir à l’aise en venant à la banque, sans contrainte», a-t-il déclaré. Il ajoutera que cette démarche contribue à renforcer la crédibilité des messages portés par la BMS-SA à l’attention de sa clientèle.
Lanfia Koïta a également rappelé qu’en plus de ces six nouveaux GAB, une dizaine avait déjà été installée, il y a six mois, à l’agence ex-BHM (communément appelée agence 1002). «Ces différents guichets automatiques permettent aujourd’hui à l’ensemble de notre clientèle d’effectuer ses opérations dans les meilleures conditions», a-t-il salué. Et d’ajouter : «Dans les grandes agences également, nous allons poursuivre la même politique, avec l’installation de trois à quatre GAB supplémentaires pour permettre aux clients d’être mieux à l’aise dans leurs transactions».
Le directeur général de la BMS-SA a profité de l’occasion pour remercier la clientèle pour sa fidélité et la confiance accordée à sa Banque. «Nous recevons de plus en plus de clients que nous essayons de gérer avec les moyens dont nous disposons, ainsi qu’avec des solutions innovantes», a-t-il dit. Pour le patron de la BMS-SA, l’objectif est de faire en sorte que la clientèle se sente à l’aise avec les outils de dernière génération que nous avons mis en place, notamment les dispositifs tactiles et d’autres technologies permettant de mieux satisfaire les clients dans le cadre de leurs opérations.
Amadou GUEGUERE
La rencontre de Bamako va permettre de mettre en place les organes dirigeants de la BCID-AES, valider les textes fondateurs tout en veillant à la disponibilité des moyens techniques, financiers, juridiques et humains nécessaires à son développement.
À la place des statues des explorateurs et des gouverneurs du Soudan français, se trouvent désormais celles des résistants à la pénétration coloniale et des figures emblématiques de notre Armée.
Il est bien loin ce temps où Radio Mali et L’Essor mobilisaient seuls tous les sens des citoyens maliens et façonnaient l’opinion. Jusqu’en 1983, lorsqu’ils furent rejoints par la télévision nationale. La nouvelle venue ne faisait qu’agrandir la famille des «médias publics»..
Dans un environnement informationnel en constante mutation, démêler le vrai du faux est devenu un enjeu majeur. Et ce combat contre la désinformation nécessite obligatoirement le respect des principes du journalisme..
Les médias traditionnels ou classiques prennent le temps de recouper l’information avant de la diffuser. Tel n’est pas forcément le cas des nouveaux acteurs du métier appelés «vidéoman» qui, à la recherche de buzz et de sensation forte pour se faire plus d’audience, tombent facilement .
Dans les lignes qui suivent, nos deux interlocuteurs se sont prononcés sur les rôles de l’Essor et de l’ORTM dans l’ancrage institutionnel de notre pays, leur adaptation à l’évolution numérique, les défis et la contre-attaque dans le cadre de la guerre informationnelle.
