
Elle a aussi appelé
le gouvernement et tous les mouvements signataires à rejoindre sans délai la
table du Comité de suivi de l’Accord (CSA) pour le parachèvement du processus. Dans sa déclaration d’adhésion en date du 4
novembre dernier, la CTIA dit être préoccupée par les derniers développements sécuritaires
consécutifs à la résolution n°2690 du 30 juin 2023 du Conseil de sécurité des
Nations unies, relative au retrait de la Minusma et à la rétrocession de ses
emprises aux Forces armées maliennes (FAMa). La CTIA, après analyse du contexte
socio-politique et sécuritaire dans notre pays en lien avec l’Accord pour la
paix et la réconciliation, constate la reprise injustifiée des hostilités. Le
regroupement salue le professionnalisme et le courage des FAMa ainsi que les
autorités de la Transition dans la conduite du processus de retrait coordonné
et ordonné de la Mission.
La CTIA, acteur républicain important dans la
mise en œuvre de l’Accord dans ses zones d’influence et pour le compte des
populations et communautés qu’elle représente, se sent interpellée quant à son
rôle pour la préservation de la paix. Ainsi, la Confédération, après avoir
discuté avec certains acteurs signataires de l’Accord pour la paix et la réconciliation,
notamment le secrétaire général de la CPA, président des Mouvements de
l’inclusivité et les responsables de la plateforme des mouvements du 14 juin
2014 d’Alger, réaffirme son soutien indéfectible aux autorités de la
Transition. Et pour un Mali «un et indivisible» comme en atteste le sacrifice
ultime des anciens qui ont versé leur sang, le 9 mai 1916 à Andéramboukane
contre le colonisateur français, sous le leadership de l’Amenokal Fihroun Ag
Alinssar.
Le regroupement déclare maintenir son
engagement à ne ménager aucun effort pour que les Maliens, en général et la
Confédération des Touaregs Iwillimiden et Alliés, en particulier puissent bénéficier
des dividendes de la paix. La CTIA appelle toutes les communautés membres
et alliés à rejoindre sans délai le processus de paix sous la conduite du
gouvernement représenté par le ministre de la Réconciliation chargé de la Mise
en œuvre de l’Accord pour la paix et la réconciliation au Mali à travers les
Mouvements de l’inclusivité.
La Confédération réaffirme sa solidarité avec
tous les mouvements républicains engagés pour la paix, tout en demandant à tous
les compatriotes ayant une quelconque responsabilité de mettre fin aux
souffrances du peuple malien. Elle réaffirme encore son attachement à la souveraineté,
à l’intégrité et à l’indépendance du Mali et invite tous les Maliens à une
union sacrée autour du Mali, notre seul et unique héritage commun.
Souleymane SIDIBE
À l’occasion du 38è anniversaire de l’assassinat du Président Thomas Isidore Noël Sankara, le chef de l’État burkinabè, le capitaine Ibrahim Traoré, a rendu un vibrant hommage au père de la Révolution d’août 1983.
L’ancien Premier ministre Soumana Sako a tiré sa révérence, ce mercredi 15 octobre 2025. Né en Nyamina en 1950, Soumana Sako a obtenu le Diplôme d’étude fondamentale (DEF) en juin 1967 et le Bac trois ans plus tard, en se classant dans les cas deux Premier national.
En plus d’être de ferventes agricultrices, les femmes de Siby sont aussi de véritables gardiennes de la nature. Elles assurent la protection de l’environnement avec leur savoir-faire.
C’est aujourd’hui qu’on célèbre la Journée internationale de la femme rurale. À cette occasion, nous sommes allés à la rencontre des braves femmes de Siby dont la principale activité est de travailler la terre pour garantir la sécurité alimentaire dans la communauté et assurer leur a.
Les travaux de construction du principal caniveau qui traverse la ville de Kangaba ont démarré le jeudi 9 octobre. Ils sont financés par le budget de la Commune rurale de Minidian pour un montant total de 47.496.416 Fcfa. Le premier coup de pelle a été donné par le maire de cette commune, Mamb.
Le 2è adjoint au préfet de Diéma, Attayoub Ould Mohamed, à la tête d’une délégation restreinte, comprenant le 2è adjoint au maire de la Commune rurale de Diéma, Nakounté Sissoko, le chef du service subrégional du commerce et de la concurrence, Mamby Kamissoko, et des éléments des Forc.