
Au total, 363 dossiers de candidatures avaient été déposés
La remise symbolique des billets a eu lieu mardi dernier,
dans la salle de réunion de la direction des finances et du matériel (DFM) du
ministère du Développement rural. La cérémonie de mise en route des étudiants était
présidée par le chef dudit département, Modibo Keïta, en présence du
coordinateur Moussa Coulibaly et des bénéficiaires.
L’objectif de cette formation est de renforcer les capacités
des services vétérinaires nationaux. Il s’agit également de participer à la réduction
des écarts constatés par l’évaluation, en 2009, de la Performance des services
vétérinaires (PVS). Cet examen a été fait par l’Organisation mondiale de la
santé animale (OIE) et le gouvernement malien à travers Praps II-Mali et
Padel-M qui assurent le financement de la formation initiale de docteurs en médecine
vétérinaire. L’impact attendu est d’améliorer la résilience des pasteurs et des
agropasteurs dans certaines zones ciblées de la Région du Sahel.
Au total, 363 dossiers de candidatures avaient été déposés,
parmi lesquels 31 ont été retenus à la suite d’un appel à candidature. Une
commission a été mise en place par décision n°000389/MDR-SG du 05 octobre 2022
pour le dépouillement des dossiers de candidatures. Elle était composée de représentants
des ministères du Travail et de la Fonction publique, de l’Enseignement supérieur
et de la Recherche scientifique et du Projet.
Les candidats ont été sélectionnés
parmi les meilleurs bacheliers de la série sciences expérimentales, des
fonctionnaires détenteurs de la Licence zootechnie de l’IPR/IFRA. L’âge limite était
de 22 ans pour les bacheliers et 40 ans au plus pour les professionnels. Cette
vague succède à deux autres qui ont bénéficié de la même formation.
Le Projet comprend cinq composantes. La première vise à
contribuer à l’amélioration de la santé animale et contrôler les médicaments vétérinaires.
La seconde œuvre pour la gestion durablement des paysages et l’amélioration de
la gouvernance, des chaînes de valeur du bétail. Le troisième participe à l’amélioration
de l’inclusion sociale et économique des femmes et jeunes. Le quatrième vise à
renforcer le cadre institutionnel, prévenir, tandis que la dernière vise de façon
globale le développement du sous-secteur de l’élevage dans notre pays.
Au nom de ses camarades, Mariam Konaté, porte-parole des
boursiers, a remercié le gouvernement et ses partenaires pour cette initiative.
Elle a engagé ses collègues à tout mettre en œuvre pour relever le défi.
Pour rappel, l’élevage représente environ 15% du Produit intérieur
brut (PIB) du Mali. Notre pays exporte environ 20% de ses produits animaux à
destination de plusieurs pays d’Afrique de l’Ouest. Le sous-secteur élevage est
un élément clé de l’économie malienne. D’où l’importance de mieux outiller les
futurs et actuels vétérinaires maliens, a estimé le ministre Keïta.
Dix ordinateurs et deux billets d’avion ont été remis aux dix premiers boursiers à la fin de la cérémonie.
Anta CISSÉ
Rédaction Lessor
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