
Le ministre Toureh s’est adressé à la presse à la fin de la visite
Ces individus ont endommagé des équipements, tels que
des chaises et cassé des vitres. Hier, dans l’après-midi, le ministre de la
Communication, de l’Économie numérique et de la Modernisation de l’administration
s’est rendu sur les lieux pour marquer la solidarité du gouvernement de la
Transition à l’endroit de la presse en cette triste circonstance.
«Ce qui s’est passé paraît très grave. Ce sont des actes qui
portent atteinte à la liberté et à la presse. Pour nous, les membres du
gouvernement de la Transition, la Maison
de la presse est un sanctuaire du droit, de la liberté de façon générale. Ce
qui, en aucun cas, ne devrait être violé par qui que ce soit». C’est en ces
termes que le ministre Me Harouna Mamadou Toureh a dénoncé cet acte, en présence
des responsables de la presse publique et privée.
«Ce qui est arrivé est regrettable, mais je voudrais vous
dire que le gouvernement de Transition a
pris cette habitude de prôner la cohésion sociale, la paix, la tolérance et
la non violence. Ce qui s’est passé ici est contraire à ces valeurs», a déclaré
le ministre Toureh, ajoutant que la Maison de la presse est celle de l’État du
Mali.
À cet égard, a-t-il dit, elle mérite d’être protégée contre toutes sortes
de vandalisme. Et afin que cet incident ne se répète pas, Me Harouna Mamadou
Toureh a promis que des mesures seront prises pour protéger la Maison de la
presse et l’ensemble de la profession. Très prochainement, la question sera
traitée au niveau du Conseil des ministres.
Le ministre de la Communication, de l’Économie numérique et
de la Modernisation de l’administration a invité les uns et les autres à faire
preuve de tolérance, en permettant à chacun de s’exprimer librement. Chacun
doit également pouvoir défendre ses convictions, sans que cela ne puisse
susciter ni violence ni contrainte.
Selon le président de la Maison de la presse, il est trop tôt
de se prononcer sur les responsabilités. « La salle a été mise à la disposition
d’acteurs de la société civile, des politiques qui étaient en train de faire un
point de presse. Il y a des contradictions dans les explications sur les
circonstances.
Certains disent que des gens sont venus de l’extérieur pour
envahir la salle. D’autres disent que ce sont les participants à la conférence
qui, à partir de l’intérieur, n’étaient pas d’accord », a rapporté Bandiougou
Danté. Quoi qu’il en soit, il a estimé que ce qui s’est passé ne devrait pas
arriver.
«Nous avons mis la Maison de la presse à disposition de tous les
Maliens qui souhaitent venir s’exprimer. Des incidents ont eu lieu, des vidéos
et photos sont disponibles. Pour le moment, nous n’écartons aucune piste et
nous interpellons les autorités pour que toute la lumière soit faite sur ces événements
malheureux. Que les auteurs et leurs complices répondent de leurs actes devant
la loi», a déclaré Bandiougou Danté.
Ajoutant qu’une plainte sera portée contre X. à cet effet, la Maison de
la presse se constituera partie civile et suivra les enquêtes pour savoir réellement
qui a fait quoi et pourquoi il l’a fait.
Outre le gouvernement et les hommes de médias, des responsables de partis politiques ont effectué le déplacement au nom de la liberté de la presse, de la liberté d’expression et de la démocratie.
Rédaction Lessor
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