
Selon les autorités ivoiriennes, ces militaires sont régulièrement inscrits dans l’effectif de l’Armée ivoirienne et se trouvaient au Mali, dans le cadre des opérations des Éléments nationaux de soutien (NSE).
C’est ce qui ressort d’une réunion extraordinaire du Conseil national de sécurité tenue, mardi 12 juillet, à Abidjan. L’ordre du jour portait sur l’arrestation par les autorités maliennes de 49 militaires ivoiriens, le dimanche dernier, à l’Aéroport International président Modibo Keïta Sénou de Bamako.
« La présence de ce détachement des Éléments nationaux de Soutien est conforme aux mécanismes de soutien aux contingents des pays contributeurs de troupes dans le cadre des Missions de Maintien de la Paix et est bien connue des autorités maliennes », précise-t-on.
Seulement, voilà que cette version rajoute à la confusion d’autant que la Minusma avait clairement indiqué que ces éléments ne font pas partie du détachement ivoirien de la mission onusienne. Celle-ci déclare, pour plus de clarté, qu’aucune relève n’est prévue le jour de leur arrivée. Ces éléments, disent les Nations Unies ne sont pas connus du fichier du personnel civil et militaire.
Mieux, la société Sahel Aviation Service (SAS) s’en est totalement lavée les mains en déclarant qu’elle n’attendait pas de la visite. Les professions déclarées par les soldats sont des plus insolites.
Le Conseil national de sécurité de la Côte d’Ivoire a demandé la libération rapide de ses soldats sans délai. Oubliant que dans un État de droit, une affaire enrôlée au tribunal suit une procédure qui prend son temps.
Le Mali, pays en guerre, qui ne badine pas avec sa sécurité a simplement considéré le groupe de militaires comme des mercenaires. La justice malienne dispose déjà d’un dossier bien renseigné : la déclaration de l’ONU, les réponses de la société d’aviation, les premières dépositions des soldats ivoiriens et les propos discordants des autorités ivoiriennes elles-mêmes. A ces éléments, il faut ajouter les différentes violations du Code des douanes et autres dispositions règlementaires en matière d’aviation civile.
Ahmadou CISSE
L’ancien Premier ministre Soumana Sako a tiré sa révérence, ce mercredi 15 octobre 2025. Né en Nyamina en 1950, Soumana Sako a obtenu le Diplôme d’étude fondamentale (DEF) en juin 1967 et le Bac trois ans plus tard, en se classant dans les cas deux Premier national.
En plus d’être de ferventes agricultrices, les femmes de Siby sont aussi de véritables gardiennes de la nature. Elles assurent la protection de l’environnement avec leur savoir-faire.
C’est aujourd’hui qu’on célèbre la Journée internationale de la femme rurale. À cette occasion, nous sommes allés à la rencontre des braves femmes de Siby dont la principale activité est de travailler la terre pour garantir la sécurité alimentaire dans la communauté et assurer leur a.
Les travaux de construction du principal caniveau qui traverse la ville de Kangaba ont démarré le jeudi 9 octobre. Ils sont financés par le budget de la Commune rurale de Minidian pour un montant total de 47.496.416 Fcfa. Le premier coup de pelle a été donné par le maire de cette commune, Mamb.
Le 2è adjoint au préfet de Diéma, Attayoub Ould Mohamed, à la tête d’une délégation restreinte, comprenant le 2è adjoint au maire de la Commune rurale de Diéma, Nakounté Sissoko, le chef du service subrégional du commerce et de la concurrence, Mamby Kamissoko, et des éléments des Forc.
Le lancement a été présidé par le ministre de l’Élevage et de la Pêche, Youba Ba. Au cours de cette campagne, 15 millions de petits ruminants seront vaccinés et marqués à travers toutes les régions.