
Depuis son lancement le 1er décembre dernier, les parages du parc n’ont pas désempli. À partir du Musée national, les voitures observent un samedi aux environs de 20 heures, une file indienne très longue. Au bord de la route, plusieurs autres sont stationnées. L’espace réservé au parking, refuse des engins.
Des vendeurs d’articles divers (bonbons, les biscuits, les chewing-gums, des ballons gonflants, des bouquets, des boissons et des guirlandes) proposent leurs marchandises aux visiteurs devant et à l’intérieur du Parc national. En face de cette structure, des groupes de jeunes sont réunis. Chacun donne son argent au plus âgé qui va, à son tour, prendre les tickets d’accès au parc.
D’autres visiteurs font le rang pour s’acquitter de la redevance. Le prix du ticket pour les enfants s’élève à 500 Fcfa contre 1000 Fcfa pour les adultes. Le site est décoré aux couleurs de la deuxième édition du Parc magic. À l’entrée de cet espace d’attraction, une grande affiche souhaite la bienvenue au public.
À l’intérieur, les décorations sont lumineuses. Des cris de joie et les haut-parleurs dégageant des musiques urbaines animent le site. Des milliers de flashes de téléphone des spectateurs projettent des lumières dans l’ambiance du concert.
Différends stands exposant des nourritures, des boissons, des espaces réservés à la prise des photos, sont installés dans la cour tels que des stades de nourriture. Des familles rassemblées sur des nappes discutent entre eux. Adama Tangara, père de foyers, amène sa famille au parc magic. Il explique : « C’est la deuxième fois que je viens au parc magique et je ne suis pas déçus d’être là encore.
Le fait de voir les gens de différentes personnalités, d’ethnies, rassemblées aux mêmes endroits donne chaud au cœur. Je viens avec ma famille pour les divertir un peu car on a tous besoin de ces petits moments après une longue semaine de travail », déclare-t-il.
Les rumeurs incitent plusieurs personnes à venir. C’est le cas d’Aïcha Dicko qui est à sa première visite. Elle affirme que ses enfants l’on poussée à venir au parc magic. Elle ne regrette pas d’être venue car ses enfants s’amusent bien. Selon elle, c’est le plus important.
Noumh Diallo affirme : « j’attendais avec impatience le parc magic depuis le mois d’octobre », confie-t-il, avant de préciser qu’il est à sa neuvième participation à cette deuxième édition. «Je viens avec les enfants de mon frère pour leur permettre aussi de se divertir. Avec les différentes activités qu’on fait en fin d’année, ça prouve la stabilité du pays » explique-t-il.
Alexandra Adlaoui, une canadienne qui fait partie des organisateurs du parc magic déclare : «On veut créer un cadre Familial agréable pour accueillir tout le monde avec les lumières. On essaye aussi de faire connaitre les artistes malien et valoriser l’art », souligne Alexandra Adlaoui.
Et de rappeler que l’année passée, l’initiative a enregistré la participation de plus de 140.000 personnes. « Nous espérons dépasser ce nombre cette année », souhaite l’organisatrice. Comme difficultés, elle cite la gestion difficile de la foule et des contraintes de communication.
ASSITAN KIMBIRY
Rédaction Lessor
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