
Le marché est actuellement inondé de céréales
Ainsi, le prix du sac de riz de 50 kg
revient à 22.500 Fcfa au lieu de 27.500 Fcfa. Quant au mil, le prix reste
instable et le sac de 50 kg est vendu aujourd’hui à 20.000 Fcfa en certains
endroits de la capitale. Pour ce qui concerne le haricot, le sac de 50 kg est
cédé à 35.000 Fcfa contre 50.000 Fcfa en octobre dernier.
Cette baisse
des prix, selon les témoignages recueillis auprès de certains grossistes
et détaillants, serait liée à plusieurs facteurs, notamment l’abondance des
produits sur le marché. Le grossiste Dramane Dembélé explique cette réduction
marque la fin de la cherté des prix des céréales. Il assure que dans quelques
semaines, les prix seront encore plus accessibles pour le plus grand bonheur
des consommateurs.
Bocar
Traoré opinera dans le même sens. Cet autre grossiste souligne que la hausse du
prix des céréales dépend de l’approvisionnement du marché. Il estime que le
mois dernier, il y a eu une pénurie de certains produits comme le riz et le
haricot. C’est pourquoi, les prix avaient pris l’ascenseur. «Il n’y avait
presque plus de produit sur le marché du fait de la mauvaise récolte de l’année
dernière», argumente-t-il.
De
son côté, le grossiste Sékou Touré affirme que le sac de 50 kg de riz qui était
vendu par endroits à plus 25.000 Fcfa est aujourd’hui cédé à 22.500 Fcfa. À
l’en croire, le marché est actuellement inondé de céréales. «C’était la
première fois que je vois le haricot aussi si cher sur le marché alors qu’il
est produit en grande quantité chez nous», déclare-t-il.
Le
détaillant Abba Diallo confirme, sans la moindre hésitation, une baisse des
prix des céréales sur les marchés, notamment par rapport aux mois précédents.
Cette chute légère est bien appréciée des consommateurs, notamment les chefs de
famille. Savoir que les prix des céréales ont diminué est, selon Sada
Traoré, une bonne nouvelle. Il pousse vraiment un ouf de soulagement.
«Le riz, le haricot et le mil sont des céréales que les Maliens consomment
quotidiennement. Savoir qu’il en existe une quantité importante sur le marché à
prix abordables est une bonne chose pour les consommateurs», souligne Adama
Diarra, avant d’inviter le gouvernement à redoubler d’efforts pour assurer la
sécurité alimentaire dans notre pays.
Si
la tendance des prix des céréales est à la baissé, ceux des autres produits de
première nécessité comme l’huile, l’oignon ou encore la pomme de terre montent
en flèche. Bouraïma Traoré, marchand grossiste au marché des condiments communément
appelé «Wonida» confirme. Le prix du sac d’oignon qui était le mois vendu à
12.000 Fcfa coûte aujourd’hui 12.500 et 13.000 Fcfa par endroit.
Le prix du kilogramme d’oignon oscille entre 550 et 600 Fcfa. Quand au sac de pomme de terre, on le trouve sur le marché à 16.500 contre 15.500 Fcfa précédemment. Elle est cédée à 750 F cfa le kilogramme. L’huile aussi a subi une flambée de prix. Le bidon d’huile passe de 19.000 à 22.500 Fcfa, explique Bouraïma Traoré.
Siguéta Salimata DEMBÉLÉ
Rédaction Lessor
À l’occasion du 38è anniversaire de l’assassinat du Président Thomas Isidore Noël Sankara, le chef de l’État burkinabè, le capitaine Ibrahim Traoré, a rendu un vibrant hommage au père de la Révolution d’août 1983.
L’ancien Premier ministre Soumana Sako a tiré sa révérence, ce mercredi 15 octobre 2025. Né en Nyamina en 1950, Soumana Sako a obtenu le Diplôme d’étude fondamentale (DEF) en juin 1967 et le Bac trois ans plus tard, en se classant dans les cas deux Premier national.
En plus d’être de ferventes agricultrices, les femmes de Siby sont aussi de véritables gardiennes de la nature. Elles assurent la protection de l’environnement avec leur savoir-faire.
C’est aujourd’hui qu’on célèbre la Journée internationale de la femme rurale. À cette occasion, nous sommes allés à la rencontre des braves femmes de Siby dont la principale activité est de travailler la terre pour garantir la sécurité alimentaire dans la communauté et assurer leur a.
Les travaux de construction du principal caniveau qui traverse la ville de Kangaba ont démarré le jeudi 9 octobre. Ils sont financés par le budget de la Commune rurale de Minidian pour un montant total de 47.496.416 Fcfa. Le premier coup de pelle a été donné par le maire de cette commune, Mamb.
Le 2è adjoint au préfet de Diéma, Attayoub Ould Mohamed, à la tête d’une délégation restreinte, comprenant le 2è adjoint au maire de la Commune rurale de Diéma, Nakounté Sissoko, le chef du service subrégional du commerce et de la concurrence, Mamby Kamissoko, et des éléments des Forc.