
L’événement s’est déroulé, jeudi dans
l’enceinte du Musée de la femme à Korofina-nord. La cérémonie s’est déroulée
en présence des initiateurs dudit projet, de plusieurs élus communaux et de
nombreux autres invités.
Les responsables du CAMJEC sont partis de l’idée selon laquelle, la plupart élèves coraniques ne pratiquent aucun autre métier au terme de leurs études. Avec le temps, il s’est avéré de plus en plus nécessaire d’apprendre à ces jeunes la pratique d’un métier qui puisse leur assurer un avenir meilleur. Ainsi, le projet qui vient d’être lancé entend concilier les études du Saint Coran et la pratique d’un métier.
Selon un programme établi par les initiateurs, les élèves étudient le Livre saint le matin, puis ils vont se consacrer à un métier de leur choix pendant l’après midi. Ils sont plus d’une vingtaine d’élèves coraniques (tous sexes confondus) à former le premier contingent de ce projet que les responsables qualifient d’ambitieux pour le plein épanouissement des bénéficiaires voire de la jeunesse du pays.
La menuiserie métallique, celle du bois et la couture sont les trois premiers métiers retenus pour les élèves coraniques qui formeront le premier contingent du programme. Les initiateurs nourrissent l’ambition d’étendre le projet à d’autres localités du pays à la lumière des résultats qui seront obtenus à Bamako.
Très heureux de cette initiative, le coordinateur des chefs de quartier de la Commune I, Sory Diallo, a attiré l’attention sur les avantages d’une telle idée pour nos jeunes apprenants du Saint Coran. Mais surtout pour tout le pays, à travers une jeunesse bien formée.
Son collègue de la
coordination des chefs de quartier du District de Bamako, Seydou Sangaré, a
fait chorus. Il s’est appesanti sur le fait qu’à l’avenir, ce projet peut être
un moyen de créer un certain équilibre entre les élèves coraniques et leurs
frères et sœurs qui ont appris et vivent d’autres langues dans notre pays.
Il a
écarté toute idée faisant croire que les jeunes élèves n’ayant appris que le
Saint Coran vivent uniquement de la mendicité. Tous les envoyés d’Allah, le Clément et
Miséricordieux avaient un métier, y compris le prophète Mahomed (Paix et salut
sur lui), a-t-il rappelé, invitant ainsi les bénéficiaires à ne pas céder au
découragement. La cérémonie a été ponctuée de lecture de Coran.
Mohamed TRAORE
À l’occasion du 38è anniversaire de l’assassinat du Président Thomas Isidore Noël Sankara, le chef de l’État burkinabè, le capitaine Ibrahim Traoré, a rendu un vibrant hommage au père de la Révolution d’août 1983.
L’ancien Premier ministre Soumana Sako a tiré sa révérence, ce mercredi 15 octobre 2025. Né en Nyamina en 1950, Soumana Sako a obtenu le Diplôme d’étude fondamentale (DEF) en juin 1967 et le Bac trois ans plus tard, en se classant dans les cas deux Premier national.
En plus d’être de ferventes agricultrices, les femmes de Siby sont aussi de véritables gardiennes de la nature. Elles assurent la protection de l’environnement avec leur savoir-faire.
C’est aujourd’hui qu’on célèbre la Journée internationale de la femme rurale. À cette occasion, nous sommes allés à la rencontre des braves femmes de Siby dont la principale activité est de travailler la terre pour garantir la sécurité alimentaire dans la communauté et assurer leur a.
Les travaux de construction du principal caniveau qui traverse la ville de Kangaba ont démarré le jeudi 9 octobre. Ils sont financés par le budget de la Commune rurale de Minidian pour un montant total de 47.496.416 Fcfa. Le premier coup de pelle a été donné par le maire de cette commune, Mamb.
Le 2è adjoint au préfet de Diéma, Attayoub Ould Mohamed, à la tête d’une délégation restreinte, comprenant le 2è adjoint au maire de la Commune rurale de Diéma, Nakounté Sissoko, le chef du service subrégional du commerce et de la concurrence, Mamby Kamissoko, et des éléments des Forc.