
Le Premier ministre avec la délégation de la Fédération nationale des associations des parents d’élèves et étudiants du Mali (Fenapeem)
La première délégation introduite chez le
Premier ministre était celle de la Fenapeem, venue exposer au chef du
gouvernement ses difficultés, notamment la suspension, depuis trois ans, de la
subvention d’environ 6,2 millions Fcfa que l’État accordait à la Fédération.
Mais aussi le besoin de réhabilitation de son siège et l’organisation du congrès
de la Fenapeem. Il est bon de préciser que
le regroupement n’a pas tenu des assises depuis plus d’une décennie.
Alors que le congrès statutaire doit se tenir tous les 5 ans.
Yacouba Coulibaly et ses collègues ont aussi
brossé les réalisations de leur organisation. Parmi lesquelles, on peut citer
la création de 30.185 salles de classes ; le décrochage de l’Association des élèves
et étudiants du Mali (AEEM) du cycle fondamental ; l’élaboration d’une charte
des parents d’élèves... Ils ont invité le Premier ministre Maïga à s’inscrire
dans l’accompagnement. «Aidez nous à vous aider», ont-ils lancé.
En retour, le Premier ministre a félicité les
membres de la Fenapeem pour tout ce qu’ils font pour notre pays. Dr Choguel
Kokalla Maïga s’est dit surpris par le tableau peint sur la situation de la Fédération.
Il a promis non seulement de débloquer la situation, mais surtout de
l’augmenter à 10 millions de Fcfa.
Le chef du gouvernement a aussi donné des
assurances pour la tenue du congrès de la Fédération et la réfection de son siège.
Il convient de rappeler que la Fenapeem a vu le jour au lendemain de l’indépendance
du Mali. Cette audience s’est déroulée en présence des ministres de l’Éducation
nationale, Amadou Sy Savané ; de l’Enseignement supérieur et de la
Recherche scientifique, Bouréma Kansaye ; et de leur collègue du Travail,
de la Fonction publique et du Dialogue social, Fassoun Coulibaly.
Quant à la délégation du Snec, elle aussi était
venue parler au Premier ministre de ses préoccupations sur le secteur de l’éducation.
Lesquelles ont trait à la réintégration des enseignants des écoles
communautaires, la «menace» et «l’humiliation» quotidiennes des militants de
leur organisation syndicale par certains directeurs des Centres d’animation pédagogique
(Cap).
«Nous sommes écartés de tout pratiquement, notamment de la correction et
de la surveillance», a déclaré le secrétaire général du Snec au terme de la
rencontre. Moustapha Guittèye s’est ensuite empressé de rappeler qu’en 2021,
seuls son regroupement syndical et d’autres enseignants des écoles privées ont
accepté, de façon patriotique, de surveiller et corriger les examens de fin
d’année.
Toutefois, il s’est dit sorti «satisfait» de
la rencontre avec le chef du gouvernement. D’après lui, des instructions ont été
données pour qu’ensemble : «On puisse examiner les problèmes et trouver
les solutions adéquates».
Les responsables du Snec ont également évoqué les actions qu’ils mènent dans le cadre de la lutte contre le travail des enfants et de la formation en didactique de discipline. Cette audience s’est déroulée en présence du ministre du Travail, de la Fonction publique et du Dialogue social, Fassoun Coulibaly.
Bembablin DOUMBIA
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